Visite officielle du président de la République François Hollande en Corse, à l'occasion de la célébration du 70ème anniversaire de la libération de l'île. Témoignage d'un ancien combattant, micro-trottoir sur un marché d'Ajaccio où des habitants se prononcent sur la situation politique locale, et extrait du discours de François Hollande dénonçant la violence sur l'île.
Reportage sur la visite présidentielle de Nicolas Sarkozy sur l'île de Beauté qui est dédiée au thème de l'aménagement du territoire et au cours de laquelle le chef de l'Etat réaffirme sa fermeté à l'égard du terrorisme : "L'impunité, c'est fini !"
Déplacement en Corse du président de la République Jacques Chirac qui, lors d'un dépôt de gerbe, et en présence de Lionel Jospin, Premier ministre, et de Jean-Pierre Chevènement, ministre de l'Intérieur, rend hommage au préfet Claude Erignac, assassiné quelques jours plus tôt par des nationalistes.
Visite officielle en Corse du président de la République Emmanuel Macron où il rend un hommage appuyé au préfet Claude Erignac, assassiné en 1998 par des nationalistes, avec un discours en présence de sa veuve, Dominique Erignac, qui a elle aussi pris la parole. Réactions après les discours de Gilles Simeoni (président de l'Assemblée de Corse) et de Paul-André Colombani (député de Corse-du-Sud). Emmanuel Macron : "Le 6 février 1998 ne se justifie pas, ne se plaide pas, ne s'explique pas."
A l'occasion de sa visite officielle en Corse, le président de la République François Mitterrand visite le parc naturel de Corse, près de Piana et ensuite prononce un discours à Calvi dans lequel il fustige la violence et le terrorisme : "Nous refusons la violence... Que l'on n'attende pas de nous la moindre complaisance."
Voyage officiel du président de la République Valéry Giscard d'Estaing en Corse, notamment à Bastia et à Calvi, où il est accueilli avec ferveur par une foule nombreuse et en profite lors de son discours pour féliciter les légionnaires du 2ème REP (Régiment étranger de parachutistes), stationnés dans la ville, après leur récent fait d'armes à Kolwezi (Zaïre). Il évoque également le problème de la violence sur l'île.
Images d'archives du voyage officiel du général De Gaulle en 1961 en Corse, notamment à Ajaccio, où une foule nombreuse était venue l'acclamer tout au long de ses déplacements dans la ville.
Le petit Gabriel Attal, neuf ans, fait sa scolarité à l'Ecole alsacienne. Ses cousins l'envient d'être dans cet établissement. Il aime particulièrement le théâtre, qu'il pratique au sein de l'établisssment. Son père, qui travaille dans le cinéma, lui a dit que pour devenir un acteur célèbre il faut commencer par le théâtre. Il s'agit de sa première apparition à la télévision.
L'annonce de la libération d'Ingrid Bétancourt a suscité la liesse au sein du comité de soutien de l'ex-otage franco-colombienne. Parmi les membres de ce comité, réactions de Gabriel Attal et de Peter Lorre.
Devant des militants UMP du Nord, Gérald Darmanin, député-maire de Tourcoing, qui vient d'être choisi comme porte-parole de la campagne de Nicolas Sarkozy pour la présidence de l'UMP, revient sur sa relation avec l'ancien chef de l'Etat et son engagement pour cette campagne. Il n'est pas "sarkodolâtre" mais a été convaincu par les propos directs de Nicolas Sarkozy à son égard.
Julien Arnaud s'entretient avec l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy à l'occasion de la sortie de son nouveau livre, "Le temps des tempêtes". Interrogé sur Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur, qui fait l'objet d'une plainte pour viol, Nicolas Sarkozy assure qu'il peut compter sur son amitié et sa fidélité.
Après la condamnation de Nicolas Sarkozy à de la prison ferme, Gerald Darmanin, ministre de l'Intérieur, assure de son soutien amical l'ancien président de la République.
Philippe Dallier, sénateur de Seine Saint Denis, et Nathalie Goulet, sénatrice de l'Orne, défendent la fonction qu'ils exercent. Souvent méconnu du grand public, leur rôle s'effectue d'abord auprès des élus locaux. L'un comme l'autre, en banlieue parisienne ou en milieu rural, soulignent l'importance du travail effectué et déplorent l'image d'une assemblée de " papis misogynes " et de " maison de retraite de la République " que continue de véhiculer le sénat. Le reportage les suit lors de réunions avec les élus locaux.
Dans un reportage à vocation pédagogique, Maurice Schumann, vice-président du sénat, donne une définition du sénateur et souligne les différences entre sénat et assemblée nationale. Des images d'une séance de travail au sénat illustrent ses propos sur le rôle pondérateur du travail des sénateurs.
Michel Rocard, interviewé en direct du Palais du Luxembourg, à Paris, exprime son enthousiasme d'avoir été élu sénateur des Yvelines et d'être ainsi un " petit nouveau " au sénat. Il souhaite profiter de son mandat dans cette " assemblée calme et sereine où on a le temps de réfléchir " pour faire avancer les sujets qui lui tiennent à coeur. Il compte, en restant député européen, établir un pont entre les débats européens et le parlement français.
La fonction de sénateur est détaillée dans ce reportage suivant Roger Quilliot, sénateur du Puy de Dôme, dans ses activités quotidiennes. Il rappelle que son rôle s'effectue avant tout auprès des élus locaux. Il s'estime ainsi apte à introduire du bon sens, du sens pratique et de l'humanité dans la loi, forcément théorique et générale. Filmé lors de réunions et pendant ses déplacements, il exprime un regret, celui de ne pas disposer d'assez de temps.
Paul Seramy, maire de Fontainebleau et sénateur de Seine et Marne, parle de son travail auprès des maires et des conseillers municipaux et celui qu'il effectue quand il est au sénat. Contrairement à ce que suggère la journaliste, il affirme qu' " au sénat, on ne s'endort pas " mais on "déteste les excès". Il est filmé lors de réunions avec des élus locaux et dans son bureau avec un collaborateur.
Alain Poher, président du sénat, présent à Levens, dans le Var, pour la célébration du centenaire de l'institution en rappelle les missions principales. La deuxième chambre a pour vocation de réfléchir aux lois et questionner le gouvernement mais aussi de représenter les collectivités locales.
Jean Huchon, sénateur du Maine et Loire, qui ne se représente pas aux prochaines élections sénatoriales, parle de la fonction qu'il a exercée au cours de deux mandats. Il se définit comme un élu de terrain et donne la liste de projets qu'il a réussi à mener à bien dans la petite commune de la Salle-et-Chapelle-Aubry. Il se retire par horreur du " gérontocratisme " qui, selon lui, pollue la vie politique française. Une interview de Pierre Malinge, maire de la Salle-et-Chapelle-Aubry, salue la connaissance du terrain du sénateur sortant et son implication pour faire aboutir les dossiers.
Parmi les candidats investis du parti "En Marche", des candidats néophytes vont se présenter aux prochaines élections législatives. C'est le cas de Gabriel ATTAL, 18 ans. Il évoque le rôle de député et le bagage solide qui doit accompagner les députés pour remplir la mission de député.