La gifle de Bayrou, les « petites phrases » de Sarkozy et Macron… Maladresses ou réelles convictions, ces dérapages ont marqué l’histoire de la politique française. Attention aux sorties de route !
Dérapages des politiques
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Reportage consacré au déplacement mouvementé de François BAYROU, en campagne électorale à Strasbourg. Le candidat à l'élection présidentielle a été pris pour cible par des jeunes d'un quartier sensible de la ville et n'a pas hésité à donner une gifle à l'un des jeunes qui lui faisait les poches. Commentaire sur des images d'illustration, ponctué de l'interview de François BAYROU.
Lors des journées portes ouvertes à l'Elysée, Emmanuel MACRON, interpellé par un jeune chômeur sur la difficulté de trouver du travail lui a rétorqué "honnêtement, hôtels, cafés, restaurants, je traverse la rue et je vous en trouve".
Extrait d'un discours de Jean-Marie LE PEN devant les militants du Front National réunis en université d'été au Cap d'Agde. Il profère des injures contre Michel DURAFOUR et déclare "Monsieur Durafour et du moulin, obscur ministre de l'ouverture, dans laquellle il a immédiatement disparu [...] monsieur Durafour crématoire merci de cet aveu".
Au cours de sa visite des stands au Salon aéronautique du Bourget, Jean-Luc MELENCHON (Parti de Gauche) essaie un nouveau siège électrique pour avion de ligne et confie : "Moi, quand je voyage, je vais en classe Affaires, j'ai passé l'âge d'aller me faire briser le dos à la classe Economique parce qu'ils nous mettent comme des sardines là-dedans, c'est une honte..."
Lors d'un hommage à un ancien porte parole de la communauté pied noir à Montpellier par Georges FRÊCHE, les propos du président PS de la Région Languedoc Roussillon et Maire de Montpellier, ont dérapé en parlant de ces harkis "qui ont vocation à être cocus jusqu'à la fin des temps", les comparant à des "sous hommes".
Lors d'une visite à La Courneuve pour parler sécurité et prévention aux jeunes de la cité, le nouveau Ministre de l'Intérieur, Nicolas SARKOZY, confirme ses dires de la semaine précédente et persiste à dire qu'il souhaite "nettoyer la cité au karcher".