Reportage. Pour la première fois depuis deux siècles, les dépenses du chef de l'Etat ont fait l'objet d'un contrôle, à la demande de Nicolas SARKOZY lui même. C'est la Cour des Comptes qui s'en est chargée. Globalement le budget lui parait plutot bien géré mais la Cour demande au président de réduire son train de vie, notamment les frais liés à ses déplacements. En alternance, commentaire sur images d'illustration et images d'archives, interviews de Philippe SEGUIN, Président de la Cour des comptes, et de René DOSIERE, député PS auteur d'un rapport sur le budget 2008 de l'Elysée.
Ce matin le président de la république recevait un rapport le concernant .. puisqu'il s'agissait d'un document visant à réformer le statut pénal du chef de l'état. Un rapport qui renforce l'immunité du président en exercice. Interviews du professeur Pierre AVRIL, président de la commission Avril, de Daniel SOULEZ-LARIVIERE, membre de la commission, d'Eric HALPHEN, ancien juge et d'Arnaud MONTEBOURG, député du Parti Socialiste.
A quelques semaine du premier tour à l'élection présidentielle 2017, des habitants vivant à Mâcon en Saône-et-Loire s'expriment au sujet de la "moralisation et de la transparence de la vie politique française" et sur leurs intentions de vote. Interviewés, les gérants du restaurant "La tête de lard" et une jeune femme sont unanimes pour dire qu'ils n'ont pas confiance dans la classe politique. La jeune femme revient sur l'affaire Thomas THEVENOUD et sa "phobie administrative" en 2014.
Benoît DUQUESNE interviewe Valéry GISCARD d'ESTAING, qui vient de publier le troisième tome de ses mémoires intitulé "Le pouvoir et la vie". L'ancien président de la République française y donne des conseils aux Français pour choisir un bon président de la République : l'éthique, l'intégrité, le désintéressement étant les valeurs essentielles selon lui.
Interviewé par David PUJADAS et Nathalie SAINT CRICQ, le président de la République et candidat à l'élection présidentielle Nicolas SARKOZY revient sur l'épisode du yacht de Vincent BOLLORE sur lequel il s'était montré au lendemain de son élection en 2007. Ce geste symbolique avait alors été mal perçu par certains Français : Nicolas SARKOZY défend son amitié avec le milliardaire en citant François MITTERRAND qui était lui-même ami avec l'homme d'affaires André ROUSSELET. Il se dit "stigmatisé" - sous entendu par la classe politique de Gauche - en étant proche des chefs d'entreprise qui créent des emplois en France.
Au cours du débat de l'entre deux-tours pour l'élection présidentielle de 2012 entre François HOLLANDE et Nicolas SARKOZY. François HOLLANDE répond à la question de Laurence FERRARI "Quel président comptez-vous être ?". Il répond par l'anaphore suivante : "Moi président de la République" et dresse un portrait humble, honnête et exemplaire de la fonction de président.
A quelques semaine du premier tour à l'élection présidentielle 2017, des habitants vivant à Mâcon en Saône-et-Loire s'expriment au sujet de la "moralisation et de la transparence de la vie politique française" et leurs intentions de vote. Interviewées, deux infirmières dénoncent les privilèges des élus concernant l'imposition et les avantages en nature dont ils bénéficient contrairement aux gens modestes qui sont contraints de "tout payer".
A quelques semaine du premier tour à l'élection présidentielle 2017, des habitants vivant à Mâcon en Saône-et-Loire s'expriment au sujet de la "moralisation et de la transparence de la vie politique française" et sur leurs intentions de vote. Interview de Jean Marc DUMAS, animateur auprès de jeunes, qui compte voter pour Jean-Luc MELENCHON et qui dénonce une classe politique faiblement condamnée dans les affaires en comparaison avec des jeunes qui commettent de petits larcins. Une femme et un homme sont interviewés et comptent respectivement voter pour Emmanuel MACRON et Marine LE PEN.
En direct de la salle des fêtes du Palais de l'Elysée, François HOLLANDE, qui vient d'être élu président de la République française prononce un discours d'investiture dans lequel il donne sa vision de chef d'état pour gouverner la France : "La confiance c'est aussi l'exemplarité. Président de la République, j'assumerai pleinement les responsabilités exceptionnelles de cette haute mission. Je fixerai les priorités mais je ne déciderai pas de tout, pour tous et partout. Conformément à la Constitution, le gouvernement déterminera et conduira la politique de la Nation, le Parlement sera respecté dans ses droits, la justice disposera de toutes les garanties de son indépendance. Le pouvoir au sommet de l'Etat sera exercé avec dignité et simplicité, avec une grande ambition pour le pays. Et une scrupuleuse sobriété dans les comportements. L'Etat sera impartial parce qu'il est la propriété de tous les Français et qu'il n'appartient donc pas à ceux qui ont en ont reçu pour un temps limité la charge. Les règles de nomination des responsables publics seront encadrées et la loyauté, la compétence et le service de l'intérêt général seront les seuls critères pour déterminer mes choix pour les grands serviteurs de l'Etat."
Invité sur le plateau du journal télévisé, Emmanuel MACRON, candidat à l'élection présidentielle 2017 répond à david PUJADAS qui, faisant référence à la mise en examen du candidat François FILLON, lui demande ce qu'il ferait personnellement dans cette situation. Emmanuel Macron déclare qu'il se retirerait de la course à l'Élysée, car pour lui, "Devenir président de la République, c'est être le garant des institutions dans notre constitution". Il répond aussi à Aurélie FILIPETTI, porte-parole du candidat Benoit HAMON (message enregistré) qui l'interroge sur la "transparence" du financement de sa campagne électorale.
Candidat du RPR à l'élection présidentielle, Jacques CHIRAC, est invité sur le plateau du journal. Il répond à Arlette CHABOT et Alain DUHAMEL sur la publication du patrimoine des candidats et des comptes de campagne. Jacques CHIRAC revient sur l'interview