Dans cette affaire politico-financière, l’UMP aurait tenté de masquer les dépassements des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy via de fausses factures de la société Bygmalion.
Bygmalion
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Réactions de la base de l'UMP suite à la révélation de l'affaire Bygmalion. A Lyon, des militants déplorent le scandale et se satisfont de la démission de Jean-François Copé ou à Strasbourg, des sympathisants UMP font part de leur dégoût et critiquent l'attitude des dirigeants du parti. Micro-trottoir.
Renvoi en procès de Nicolas Sarkozy dans l'affaire Bygmalion pour dépassement du plafond des dépenses électorales lors de la campagne présidentielle de 2012. Ce dernier a décidé de faire appel. Rappel des faits en images.
Extrait du discours prononcé par Nicolas Sarkozy, candidat à la primaire de la droite et du centre en vue des élections présidentielles de 2017, lors d'un meeting à Poissy, dans les Yvelines. Le candidat réagit, en filigrane, à l'annonce des réquisitions du Parquet dans l'affaire Bygmalion et à son possible renvoi devant le tribunal correctionnel : "Aucune polémique, aucune manoeuvre, aucune manipulation, aussi honteuse soit-elle, ne me détournera d'un centimètre de ma volonté absolue de construire avec vous une alternance forte, franche, perceptible par tous les Français... Oui, j'aime la France, j'ai la passion de la France..."
Le Parquet de Paris a décidé de renvoyer Nicolas Sarkozy devant le tribunal correctionnel, dans l'affaire Bygmalion. Réaction de Maître Thierry Herzog, avocat de l'ancien président.
Le Point met en cause Jean-François Copé, président de l'UMP, dans une affaire de surfacturation des prestations d'une agence de communication, Bygmalion, lors de la dernière campagne présidentielle de 2012. Explications et réactions de l'intéressé et de Franz-Olivier Giesbert, éditorialiste au Point.
Suite aux révélations concernant l'affaire Bygmalion, le président de l'UMP, Jean-François Copé, est contraint de démissionner. Réactions de ses (ex) collègues de parti qui sont (très) loin de le soutenir... : Bruno Le Maire, Eric Ciotti, Nathalie Kosciusko-Morizet, et Valérie Pécresse.
Les deux cofondateurs et anciens dirigeants de l'agence de communication Bygmalion, Bastien Millot et Guy Alvès, ont été mis en examen pour complicité de faux et usage de faux. Ils sont soupçonnés d'avoir participé à un système de fausses factures dans le cadre de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2012. Rappel des faits en archives et réactions de Bastien Millot et de Patrick Maisonneuve, avocat de Guy Alvès.