Lors du quinquennat de François Hollande, avant les Marcheurs dissidents, un groupe de frondeurs s’organise au sein de la majorité pour résister à une politique qu’ils jugent trop portée sur la rigueur et l’aide aux entreprises. Les élus PS et EELV à l’origine du mouvement seront soutenus par Aurélie Filippetti, Arnaud Montebourg et Benoît Hamon après leur départ du gouvernement en 2014.
Frondeurs
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Lors du précédent quinquennat, bien avant la création d'un groupe de Marcheurs dissidents à l'Assemblée nationale, les frondeurs du PS et d'EELV s'opposaient à la politique menée par le président de la République. Remontés contre le Pacte de responsabilité de François Hollande, ils se réunissent lors d'un dîner. "C'est comme avec des amis, vous avez le droit de leur dire quand vous pensez qu'ils se trompent", se justifie le député socialiste Jean-Marc Germain.
Récit de la journée de rassemblement des socialistes à La Rochelle pour réclamer une élection primaire de la gauche en vue de l'élection présidentielle de 2017. Déclarations de Christian PAUL, député PS de la Nièvre, Arnaud MONTEBOURG, candidat à l'élection présidentielle et Benoît HAMON, député PS des Yvelines, candidat à la primaire de la gauche.
Reportage consacré aux réactions d'élus incarnant la gauche du parti socialiste aux mesures annoncées par le gouvernement pour faire des économies sur les dépenses publiques. Interviews de députés PS et EELV.
Au lendemain de l'usage de l'article 49.3 pour faire passer en force la loi Macron, le porte parole du gouvernement menace les frondeurs du PS de les exclure du PS s'ils votent la motion de censure lancée par l'UMP. Interview de Stéphane Le FOLL, porte parole du gouvernement. Interview de Christian PAUL, l'un des frondeurs : il assure qu'ils ne voteront pas la censure et demande à Manuel Valls de rouvrir la discussion.
François HOLLANDE: "J'ai dressé au gouvernement de Manuel Valls, une feuille de route. Elle est difficile, elle est âpre, elle peut-être rugueuse, mais elle est indispensable". A l'assemblée nationale, les opinions divergent sur le détail du plan d'économie de Manuel Valls. Pouria AMIRSHAHI: "Que Manuel Valls en tant que premier ministre ait son opinion c'est une chose, mais il procède d'une majorité et cette majorité en bien des points elle a aussi d'autres propositions à faire, c'est normal qu'on en discutte". Eric WOERTH: "J'ai trouvé qu'on était passé du mou avec monsieur Ayrault au tout brutal avec monsieur Valls. Y'a beaucoup de brutalité dans ces propos, vis à vis des français. Beaucoup de stigmatisation". Thierry MANDON: "On a connu des premiers ministres moins courageux qui se défilaient quand des mesures difficiles étaient annoncées au pays. Manuel Valls, c'est un capitaine dans la tempête, il fait front".