Lors du voyage officiel du président Sadate en France, un protocole d'accord a été signé entre la France et l'Egypte sur la coopération nucléaire : la France participera à la construction des deux premières centrales nucléaires égyptiennes. De plus, à l'hôtel Marigny, le président égyptien a reçu les représentants de la communauté juive de France. Brève en images.
En conséquence de la nationalisation du canal de Suez par l'Egypte, les troupes des armées française et britannique interviennent en Egypte. Récit de la progression des militaires français à Port Fouad et britanniques à Port Said, au sol, par mer et dans les airs.
Par la voix du ministère des Affaires étrangères, la France recommande à ses ressortissants de différer leur voyage en Egypte du fait de l'instabilité politique qui règne actuellement dans le pays et des nombreuses manifestations anti-Moubarak. Quelque 6 500 Français sont actuellement sur place. Micro-trottoir de touristes à Orly, et interviews Serge Laurens (directeur de la communication de FRAM) et Georges Colson (président du Syndicat national des Agences de voyages).
Le président de la République Nicolas Sarkozy a rencontré au Caire son homologue égyptien Hosni Moubarak. Ils ont évoqué ensemble la question du Liban, réaffirmant la nécessité que les Libanais élisent un président sans que la Syrie n'intervienne dans le processus politique du pays. Extraits des déclarations de Nicolas Sarkozy et de Hosni Moubarak, et micro-trottoir dans les rues du Caire. Plateau en situation Charles Enderlin.
Arrivée à l'aéroport du Bourget, de l'avion transportant depuis Le Caire les pièces archéologiques du trésor du pharaon Toutankhamon, prêté à la France pour une exposition parisienne, sous l'égide de la conservatrice des antiquités égyptiennes au musée du Louve, Christiane Desroches Noblecourt, nommée commissaire de l'exposition pour l'occasion.
Suite à la nationalisation du canal de Suez par le président égyptien Nasser, Guy Mollet, président du conseil, prononce un discours dans lequel il évoque la création d'une association coopérative regroupant les membres usagers du canal afin de faire valoir leurs droits au regard de la convention de 1888 : "Cette organisation recherchera toute forme de coopération convenable avec l'Egypte... Etre fidèle à la tradition de la France qui est de toujours épuiser au préalable toutes les possibilités de règlement pacifique..."
A l'occasion de l'inauguration du métro du Caire, intégralement construit et financé par la France, le président français Jacques Chirac a fait le déplacement afin d'être présent quand son homologue, Hosni Moubarak, a coupé le ruban. Images.
Martin Malvy, président du conseil régional de Midi-Pyrénées, conduit une délégation scientifique et économique en Egypte afin de finaliser un accord de coopération qui concerne entre autres le monde universitaire. Interviews de l'intéressé et du docteur El Dimir, président de l'université d'Alexandrie : "Nous voulons développer des programmes d'enseignement en langue française à l'université d'Alexandrie, nous avons commencé à la faculté de droit, et nous allons continuer à celle de médecine, puis ailleurs..."
Commémoration cette semaine en Espagne du 60ème anniversaire de la création des Brigades Internationales, constituées de volontaires de toutes nationalités pour lutter dans les rangs des Républicains pendant la guerre civile espagnole, face aux Nationalistes du "Caudillo". Commentaire sur images factuelles et interview Théo FRANCOS (ancien brigadiste) et Alonzo MORCILLO (ancien Républicain).
Témoignages d'anciens volontaires des Brigades Internationales. Lors de la Guerre d'Espagne, ces unités de combats ont réunis 40 000 personnes environ de 53 nationalités différentes contre un ennemi commun en 1936, le fascisme. Dans cet extrait Henri Rol Tangy, André Piéplu et Louis Blésy évoque les Brigades en tant que corps armé. Vu qu'elles étaient composées entre autre de volontaires ayant fait 14-18, elles étaient organisées comme des unités de combat. Il existait aussi des escadrilles d'aviation. Cependant, elles manquaient cruellement de puissance de frappe ce qui leur a fait défaut face aux troupes de Franco.
Il y a 60 ans, les combattants anti-fascistes regroupés dans les brigades internationales entraient dans le combat contre le franquisme aux côtés des républicains espagnols. Une trentaine d'anciens membres français a été reçue à l'Ambassade de France à Madrid et les Cortes leur ont accordé la nationalité espagnole. Images d'une réunion d'anciens combattants de ces Brigades.
Témoignages d'anciens volontaires des Brigades Internationales. Lors de la Guerre d'Espagne, ces unités de combats ont réunis 40 000 personnes environ de 53 nationalités différentes contre un ennemi commun en 1936, le fascisme. Dans cet extrait Lise London, André Piéplu et Henri Rol Tanguy racontent comment après la défaite de la République espagnole face au troupes de Franco en 1939, comment les volontaires des Brigades sont passées en France et se sont largement enrôlés dans la Résistance.
Cérémonie d'hommage en l'honneur des Brigades Internationales à Madrid. Lors de la Guerre d'Espagne, ces unités de combats ont réunis 40 000 personnes environ de 53 nationalités différentes contre un ennemi commun en 1936, le fascisme. Lors de ce rassemblement qui a réuni 400 anciens volontaires, il scandent leur mot d'ordre "No passaran" et chantent leurs chants.
Témoignages d'anciens volontaires des Brigades Internationales. Lors de la Guerre d'Espagne, ces unités de combats ont réunis 40 000 personnes environ de 53 nationalités différentes contre un ennemi commun en 1936, le fascisme.Dans cet extrait, Lise London et Henri Rol Tanguy évoque l'entrée des Brigades à Madrid et comment ce jour fut un grand jour de fraternité avec les Madrilains.
Témoignages d'anciens volontaires des Brigades Internationales. Lors de la Guerre d'Espagne, ces unités de combats ont réunis 40 000 personnes environ de 53 nationalités différentes contre un ennemi commun en 1936, le fascisme. Henri Rol Tangy, Lise London et André Piéplu racontent comment et pourquoi des volontaires sont partis en Espagne pour combattre auprès des Républicains en Espagne quitte à perdre leur vie au nom de la Liberté.
Il y a 60 ans plus de 8500 français s'engageaient dans les brigades internationales pour combattre pendant la guerre civile d'Espagne. Aujourd'hui ils ont refait le chemin jusqu'à Madrid pour y recevoir la nationalité espagnole a titré honorifique. Interview Roger OSSART. Interview anciens combattants.
Il y a 60 ans, les combattants anti-fascistes regroupés dans les Brigades Internationales entraient dans le combat contre le franquisme aux côtés des républicains espagnols. Une trentaine d'anciens membres français a été reçue à l'Ambassade de France à Madrid et les CORTES leur ont accordé la nationalité espagnole. Témoignage du colonel Rol Tanguy, héro des Brigades, à propos du combat contre le fascisme
A l'occasion du 50ème anniversaire des brigades internationales, témoignages de Niçois qui combattirent en Espagne en 1936 pour défendre la république contre Franco qui venait de prendre les armes contre la République espagnole avec l'aide d'Hitler et Mussolini. En mars 1939 la République était vaincue. Les brigadistes survivants rentrairent au pays. L'un d'entre eux raconte son incarcération à son retour.
Des Espagnols vivant en France fêtent Noël en chantant, frappant dans leurs mains et dansant. Mais derrière la joie se cache aussi la tristesse. Un invité s'en explique : "Des familles sont séparées parce qu'elles ont laissé les enfants en Espagne..." Cette "tristesse est largement compensée par l'espoir, dans un temps assez court, de pouvoir réintégrer sa patrie, ou son petit village, ou sa grande ville". "C'est un dilemne qui se présente à beaucoup d'Espagnols." Ils se sont habitués à la France mais gardent l'idée de retour, même si cet espoir est "chimérique". Il dit qu'il ne souffre pas, mais qu'il a un "mélange de mélancolie et de joie dans son coeur ce soir".
Reportage sur la commémoration en mémoire des 450000 républicains espagnols qui ont fui le franquisme en février 1939. Parqués par le gouvernement français sur les plages d'Argelès, Barcarès ou Saint-Cyprien, des familles entières auront connu des conditions de détention inhumaines. Un événement dramatique que la France a longtemps occulté. Fils et petits-fils de réfugiés sont venus déposer une gerbe au cimetière des Espagnols à Argelès. Images d'archives des réfugiés espagnols et interview d'un participant concernant cet épisode.