Interview du journaliste et écrivain Jean HATZFELD sur son dernier livre "Là où tout se tait" qui traite du génocide rwandais. Il insiste sur le fait que le massacre des Tutsis est une victoire du mal sur le bien mais qu'il existait quelques Hutus qui ont tentés de l'empêcher avant de se faire assassinés à leur tour. Exemple avec l'histoire d'Isidore, le premier Justes rwandais.
A l'occasion de la sortie de son livre "Là où tout se tait" sur le génocide rwandais, Jean Hatzfeld revient sur l'horreur des massacres et la lutte du bien contre le mal.
Jean HATZFELD répond aux questions d'Olivier BARROT sur le génocide rwandais et plus particulièrement sur la difficultés d'accorder ou de demander le pardon pour les victimes et les bourreaux.
Reportage consacré au rôle joué par la France au Rwanda durant le génocide des Tutsis par les Hutus en 1994. Comment et jusqu'où les autorités françaises ont-elles soutenu les Hutus ? Commentaire sur images d'archives du massacre en alternance avec les interviews de Patrick De SAINT-EXUPERY, auteur de "L'inavouable, le rôle de la France au Rwanda en 1994" et de l'amiral LANXADE, chef d'état major des armées françaises en 1994.
Rencontre au Rwanda avec des rescapés du génocide, à l'occasion de la commémoration du dixième anniversaire du massacre des Tutsis par les Hutus débuté en avril 1994. Le commentaire sur images factuelles alterne avec les témoignages de rescapés.
Alors que neuf ans se sont écoulés depuis les massacres au Rwanda, les Hutus et les Tutsis peuvent-ils vivre ensemble ? Voici la question que pose le reportage. Commentaire sur images factuelles d'anciens prisonniers revenant sur les lieux de massacres de Tutsis, sur images du Mémorial dressé en hommage aux victimes et interviews des deux anciens prisonniers, Hutu, et Tutsi, Emmanuel NYRIMBUGA.
Il y a 10 ans, au Rwanda, le génocide a fait près d'un million de morts, dans la quasi-indifférence de la communauté internationale. Plus de la moitié des 6 000 prisonniers de la prison de Kigali sont accusés d'avoir participé au génocide et il y aurait dans le pays 123 000 accusés. Commentaire sur images factuelles et interviews de deux génocidaires, Jean-Marie VIANY NYABYENDA et Madeleine MUKAMNGIRA.
Les commémorations marquant le 20ème anniversaire du génocide rwandais se sont ouvertes à Kigali, la capitale. Placées sous le thème "Souvenir, unité, renouveau", elles ont d'ores et déjà été entachées par un regain de tension avec la France et la Belgique que le président Paul KAGAME a de nouveau accusées d'avoir pris part aux massacres. Commentaire sur images factuelles et d'archives en alternance avec une déclaration de Paul KAGAME et les interviews de Jean-François DUPAQUIER (auteur de "Politiques, militaires et mercenaires français au Rwanda. Chronique d'une désinformation") et Guillaume ANCEL (ancien officier de l'armée française).
Les commémorations du génocide rwandais de 1994 sont placées sous le signe de l'unité et de la réconciliation nationale. Si ce vingtième anniversaire revêt aujourd'hui une ampleur exceptionnelle, c'est parce que les bourreaux, sortis de prison, côtoient maintenant les rescapés de la tragédie. Illustration à Nyamata, village à 40 kilomètres de Kigali, la capitale. Commentaire sur images factuelles en alternance avec des témoignages de rescapés, Robert NDAYSABA et Diogène RUBIMBURA et d'anciens génocidaires, Paul MGENDAHAMANA et son frère Théophile.
Rwanda : La mort du président rwandais, Juvénal HABYARIMANA, dans un attentat le 6 avril 1994 intervient alors que la situation est déjà explosive. Les Hutus, ethnie majoritaire qui détient le pouvoir, vont massacrer les Tutsis. En 3 mois, 800 000 personnes, hommes, femmes, enfants et vieillards, vont être tués à la machette. Les survivants vont trouver refuge dans les pays voisins. Les Tutsis vont ensuite réussir à prendre le pouvoir. L'ONU, comme il se doit, réagit très tardivement... L'opération humanitaire française "Turquoise" est lancée, mais le rôle des militaires reste ambigu et la France est accusée, avant le génocide, d'avoir formé les extrémistes hutus, de les avoir armés et soutenus. Michèle ALLIOT-MARIE, ministre de la Défense, juge ces accusations totalement scandaleuses et injustes. Commentaire sur images d'archives.