Un riche propriétaire terrien, José Palma, qui a connu l'époque du régime parlementaire, avant 1926 et avant que l'armée ne prenne le pouvoir et instaure la "Dictature nationale", explique que l'arrivée de Antonio de Oliveira Salazar, en 1932, a été un bienfait pour le pays qui sombrait, selon lui, dans le désordre et l'anarchie, du temps des partis politiques et du parlementarisme : "Il a fallu que l'armée portugaise sauve la nation... Monsieur Salazar a été un sauveur pour le Portugal sur le point de vue politique et tous les points de vue... C'était un homme très énergique, très intelligent, et il y a eu immédiatement l'adhésion de toute la nation, la jeunesse comme la vieillesse..."
Rencontre entre le général Franco, chef de l'état espagnol, et son homologue portugais, le président Antonio de Oliveira Salazar, sur le site de l'ensemble archéologique de Mérida, en Espagne. Document muet.
Rencontre Franco-Salazar à la frontière hispano-portugaise afin d'un ajustement économique de leurs deux pays suite à la mise sur pied du marché européen.
Au Portugal, à Lisbonne, 250 000 personnes, dont des délégués des provinces d'outre-mer, sont venues soutenir, lors d'une gigantesque manifestation, le président Antonio de Oliveira Salazar dans sa politique de défense de l'intégrité nationale de l'Estado Novo.
Jour d'élection présidentielle au Portugal avec le vote de Antonio de Oliveira SALAZAR, chef de l'Estado Novo, qui met son bulletin dans l'urne à Lisbonne. Document muet.
Un Portugais d'opposition, francophone, explique que Salazar laisse volontairement son pays dans la misère car on peut plus facilement contrôler un peuple pauvre et non-éduqué qu'un peuple instruit : "Salazar a peur de la richesse ! On domine mieux un peuple pauvre, misérable !" Images d'illustration et explication de ce qu'est l'Etat autoritaire mis en place au Portugal par Salazar : l'Estado Novo...