Longtemps après la fin des conflits, ces mines continuent de faire des milliers de victimes à travers le monde, malgré la convention d’Ottawa de 1997 officialisant leur interdiction. Découvrez au Mozambique, en Angola, au Cambodge, les témoignages de David Ginola, parrain de la Croix-Rouge, et ceux de Boriak ou Niep, jeunes victimes de ce fléau.
Mines antipersonnel
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Le footballeur David GINOLA a repris le parrainage de la campagne de la Croix Rouge internationale en faveur de l'élimination des mines antipersonnel. Il s'est rendu à Huambo en Angola où il a rencontré de jeunes victimes.
Dans le cadre de la manifestation organisée par Handicap international à Paris pour dénoncer les mines antipersonnel, trois adoclescents originaires du Cambodge et du Sénagal, victimes de ces explosifs, témoignent.
Entrée en vigueur du traité d'Ottawa interdisant la fabrication, le stockage, l'emploi et le commerce des mines antipersonnel : 132 pays dont la France ont signé ce traité mais les plus gros fabricants de ces mines comme les Etats-Unis, la Chine, la Russie, l'Inde, l'Irak et Israël n'y ont pas souscrit. Reportage dans le village de Jungamo au Mozambique qui est un des pays les plus touchés par ce fléau.
Le Cambodge est un des pays les plus minés au monde. La crise économique pousse les plus pauvres à vivre dans des zones non entièrement déminées. La plupart des victimes des mines sont des paysans, femmes ou enfants, frappés au hasard : témoignage de Boriak, 11 ans, vivant à Siem Reap et dont le bras a été arraché lorsqu'il avait 8 ans et de Min Saren, une paysanne de Boeungktom.
Les mines antipersonnel font une victime toutes les 20 minutes et plus de 7000 victimes par an dans le monde. Des femmes, des enfants, amputés, mutilés. Très gravement blessée au Cambodge, la jeune Niep témoigne.