M. et Mme WHITE font partie des Anglais opposés à l'adhésion de la Grande-Bretagne au Marché commun. M. WHITE, responsable des ventes dans une usine gagne 2000 francs par mois et son salaire n'a pas été augmenté depuis 3 ans. Selon Mme WHITE "les Anglais ne veulent pas du Marché commun, ils aiment une certaine indépendance, penser par eux-mêmes". Elle ajoute "que les prix ont tellement augmenté qu'ils ne peuvent plus avoir de breakfeast le matin, de bacon and eggs". De plus, "elle ne sait pas si c'est la faute du Marché commun mais on lui met tout sur le dos et ça lui donne l'occasion de râler"
Reportage dans les rues de Jérusalem où des réprésentants des différentes religions du livre sont interrogés suite à la signature à Oslo de la déclaration de principes posant les bases de l'autonomie palestinienne afin de progresser vers la paix.
Acceptant d'être filmés pour la première fois lors d'une réunion clandestine, les opposants de Bachar el Assad, malgré les risques, n'hésitent pas à dénoncer la dictature et le parti unique Baas qui détient tout le pouvoir. "Il n'y a pas de solution à tous nos problèmes sans une vraie démocratie" souligne l'un d'eux.
Interviewé par Claude SERILLON, le président syrien Bachar el ASSAD s'exprime (vo trad off) sur les relations franco-syriennes qui ont toujours été très bonnes depuis le général de Gaulle.
Interviewé à Damas par David PUJADAS, Bachar el ASSAD réfute (anglais trad off) l'utilisation d'armes chimiques et notamment de gaz de chlore, dans le conflit qui secoue son pays. Selon lui le chlore n'est pas une arme de destruction massive.
Interviewé par Claude SERILLON, le président syrien Bachar el ASSAD s'explique (vo trad off) sur la comparaison qu'il a faite devant le sommet Arabe entre le nazisme et Israël. Puis de celle faite devant le Pape entre la souffrance du Christ et celle du peuple palestinien.
Interviewé à Damas par David PUJADAS, Bachar el ASSAD s'exprime (vo trad off) sur ses relations avec la France. "Comment établir un dialogue avec un pays qui soutient les terroristes dans notre pays" souligne-t-il.
A Damas, Laurent PUJADAS interviewe Bachar el ASSAD (anglais trad off) sur sa responsabilité dans la guerre qui secoue son pays et la région et sur la répression menée depuis 4 ans.
Le président syrien explique ainsi que des terroristes se sont infiltrés dans le pays avec l'appui d'états occidentaux et régionaux et ont commencé à attaquer des civils. Le rôle de son gouvernement est de défendre ses citoyens.
Reportage consacré à la polémique provoquée par l'invitation officielle du président syrien Bachar EL ASSAD, comme invité d'honneur des festivités du 14 juillet, par le président de la République Nicolas SARKOZY. Commentaires sur images d'archives ponctués par les interviews de Riad MAASSANE AGHA, ministre syrien de la culture, de Pierre MOSCOVICI, député PS du Doubs, et de Nicolas SARKOZY lors de sa visite au Liban.
Lors d'une visite de députés français à Damas en Syrie, Bachar el ASSAD s'est adressé aux médias français. Regonflé par la reprise récente d'Alep, il assume l'usage de la force face aux terroristes. Concernant la politique intérieure française, il se dit séduit par le discours du candidat François Fillon.
La présence du président syrien Bachar el ASSAD au défilé du 14 juillet à Paris, a suscité quelques grincements de dents. Personnage clef pour la paix au Proche-Orient, Bachar el ASSAD est à la tête d'un régime qui porte toujours l'étiquette de dictature.
Commentaire sur images des chefs d'état dans la tribune, micro-trottoir de spectateurs, interview de Vincent BROSSEL, militant reporters sans frontières, et extrait de l'interview de Bachar el ASSAD diffusée dans le journal de 20 heures du 13 juillet.
Christian MALARD est allé interviewer Bachar el ASSAD à propos de l'assassinat de Rafic Hariri le 14 février 2005. Le président de la République arabe syrienne n'a aucun doute sur l'innocence de son pays dans cette affaire. "Il n'existe aucune preuve criminelle impliquant la Syrie", souligne-t'il.
Reportage consacré à la visite du président syrien Bachar el ASSAD arrivé cet après-midi à Paris qui suscite une vive polémique au sein de la communauté juive après des propos anti-sémites. Alternance de commentaires sur des images de la visite officielle de Bachar el ASSAD à Paris et des images d'archives du président syrien et des interviews de Roger CUKIERMAN, président du CRIF, et de Michel AOUN, ancien premier ministre libanais en exil en France.
A Damas, en Syrie, tout est prêt pour que Bachar el Assad succède à son père. La constitution de la république syrienne a été arrangée pour qu'il en soit ainsi.
Extrait de la conférence de presse du président de l'Assemblée, interview d'un vieil homme expliquant qu'il va voter pour Bachar el Assad. Dans son bureau, Issam EZ ZAIM, ministre du plan et proche conseiller de Bachar, souligne : "il est tourné vers l'avenir".
Diffusion en différé de l'entretien accordé par le président de la Syrie Bachar el ASSAD depuis le palais présidentiel à Damas. Il s'exprime sur le tournant que pourrait marquer pour son pays la visite du président Nicolas Sarkozy. Il revient sur les relations de la Syrie avec Israël. Il explique pourquoi il considère que l'Iran prépare un programme nucléaire civil et non militaire. Il présente sa conception de la démocratie : ce n'est pas un objectif en soi mais plutôt un moyen de développement économique, d'acquisition de liberté. Son but essentiel est la stabilité du pays.
La deuxième journée du président syrien Bachar EL ASSAD à Paris a été marquée par des incidents. Hier, des milliers de personnes protestaient contre la venue du chef d'Etat syrien accusé d'antisémitisme. Aujourd'hui, des élus parisiens ont perturbé la réception à l'Hôtel de ville alors que Bertrand DELANOE venait de prononcer une condamnation de l'antisémitisme dans son discours.
Commentaire sur images factuelles entrecoupé par un extrait de la déclaration de Bertrand DELANOE, maire de Paris, et par un extrait de celle de Bachar EL ASSAD.
Reportage à Alger consacré à la jeunesse désenchantée victime du chômage et de la pauvreté. Tous les samedis depuis deux semaines, des jeunes artistes se rassemblent place de la Grande Poste à Alger pour protester pacifiquement contre le pouvoir en place et le manque de liberté.
Images factuelles et interviews.
L'ancien chef de gouvernement algérien Ali BENFLIS, ex-homme de confiance d'Abdelaziz Bouteflika, est devenu le principal adversaire du chef de l'Etat sortant pour la présidentielle du 8 avril. Point sur son programme politique.
Alternance de commentaires sur des images factuelles du candidat en campagne avec un microtrottoir, un extrait d'une intervention du candidat.
A l'approche du vote pour les élections présidentielles en Algérie, la parole se libère dans les rues d'Alger. Certains Algériens osent critiquer le pouvoir en place. Microtrottoir et scènes de discussions politiques dans les rues d'Alger.