À la question de Paul AMAR sur les raisons de son succès, Jamel DEBBOUZE répond "Parce que je suis beau gosse". Il explique ensuite qu'il est toujours surpris par son succès et par la réaction du public, puis il parle de Trappes, la ville où il habite.
En plateau, Frédéric LOPEZ reçoit Anne PARILLAUD, Gérard DARMON, Richard ANCONINA et Jamel DEBBOUZE. A l'occasion de la chronique cinéma de Thierry COLBY qui liste les récompenses de certains films, Jamel DEBBOUZE attrape brusquement ses fiches et les jette. Thierry COLBY poursuit sa chronique malgré tout. Jamel va ensuite les ramasser et vérifie ce que dit le chroniqueur en lisant les fiches.
Eddy MITCHELL explique que selon lui le rock n'roll n'est pas une chose sérieuse, et qu'il n'y a pas qu'un seul genre de rock avec "le costume noir et le drame". Il cite Gene Vincent, Jerry Lee Lewis et Little Richard.
Eddy MITCHELL et Pierre PAPADIAMANDIS racontent leur manière de fonctionner pour l'écriture et la composition d'une chanson. Eddy MITCHELL écrit toujours ses textes sur une musique composée au préalable par Pierre PAPADIAMANDIS. Le chanteur explique qu'il a certainement pris cette habitude en écrivant des adaptations de chansons américaines à ses débuts.
Eddy MITCHELL et Bertrand TAVERNIER sur le plateau d'Eve RUGGIERI parlent du personnage de Nono, un simple d'esprit, interprété par Eddy MITCHELL dans le film "Coup de torchon". Eddy MITCHELL évoque avec humour un "rôle de composition". Bertrand TAVERNIER explique pour quelles raisons il a pensé à Eddy pour le film afin de lui "donner une image totalement différente" de son image de chanteur.
Au Golf Drouot, de retour de son service militaire, Eddy MITCHELL évoque sa jeune carrière. Il n'apprécie pas le mot "idole" inventé par les médias selon lui : "si moi je suis une idole, alors qu'est-ce que sont devenus De Bucy, Descartes et compagnie..."
Eddy MITCHELL raconte l'amateurisme de son premier groupe les "Chaussettes noires" au début des années 60 où le spectacle était davantage dans la salle que sur scène.
Interview de Jean GABIN à propos de sa prochaine collaboration avec Michel AUDIARD, à savoir l'adaptation cinématographique du livre de René FALLET "Il était un petit navire". Il explique qu'AUDIARD, qu'il appelle "le petit cycliste", et lui vont sûrement s'engueuler pendant le tournage mais que les échanges d'idées sont nécessaires.
Interrogé sur sa propriété normande par Léon ZITRONE, Jean GABIN confirme sa retraite du cinéma pour raison de santé et de fatigue (nous savons qu'il reviendra par la suite sur sa décision NDD).
Interrogé par Robert CHAZAL, Jean GABIN évoque avec humour son rôle de faux évêque dans la comédie policière "L'Année sainte" : "Quand les gens me voient en évêque dans le film, ils ne peuvent pas y croire car ils m'ont vu avant en taulard."
Sur le plateau du tournage du film "Le Gentleman d'Epsom", interrogé par Léon ZITRONE, Jean GABIN évoque sa passion des chevaux et des courses et espère que ses enfants poursuivront son élevage en Normandie.
Intronisation hier soir du magnat milliardaire de la finance Georges SOROS à la confrérie des mousquetaires de l'armagnac à Condom. Cette intronisation provoque la colère d'une partie des paysans du Gers. Monsieur SOROS renvoie la responsabilité sur le GATT.
Ouverture du procès de l'affaire de la Société Générale, affaire de délit d'initiés. Alternance d'un commentaire sur images factuelles au tribunal, arrivée des prévenus, sur images d'archives et d'interviews de Georges SOROS, Olivier METZNER, avocat de Samir Traboulsi. Plateau en situation.
Selon Georges SOROS la crise financière actuelle était prévisible : "les marchés sont imparfaits et que maintenant il faut instaurer plus de contrôle des marchés par les Etats".
Lors de ce reportage d' "Envoyé Spécial" qui lui est consacré, Georges SOROS parle de sa perte la plus colossale : cinq cent cinquante millions de dollars pour ses investisseurs lors du Krach boursier de 1987 : "je pensais que le Krach se produirait au Japon".