Renaud rencontre le succès dès la fin des années 70 avec ses chansons qui racontent la vie des petites gens, où se mêlent poésie et argo, guitare et accordéon. On retrouve ici ce gavroche du XXe siècle au bistro, son lieu de prédilection, mais aussi évoquant son enfance ou défendant Charlie Hebdo en 1982.
Renaud
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RENAUD a des difficultés pour analyser son langage, il a été influencé par Prévert, Aristide Bruant, berçé par les chansons de Brassens... Puis, il a eu enfin envie d'écrire avec son langage, celui qu'il parlait à l'époque dans la rue.
Interview de RENAUD par Danièle GILBERT. Il évoque ses débuts dans "Midi première". Après un jeu de mots sur sa pilosité, il fredonne la chanson qu'il chantait à l'époque "Camarade Bourgeois". Ils se souviennent d'un autre passage dans "Midi première", Danièle GILBERT annonce son passage à l'Olympia.
Bernard PIVOT a invité le chanteur RENAUD pour parler son recueil de textes "Mistral gagnant". Il raconte comment l'écriture de poèmes "d'adolescent tourmenté" l'a conduit à composer sa première chanson en mai 1968. Il confie qu'à l'époque, il lisait peu de poésie mais adorait Prévert et Vian. Il cite Brassens, Bruand, Bobby Lapointe, Montéhus et François Béranger comme les "maîtres qui l'ont influencé et inspiré".
Extrait de l'émission Thé ou Café au cours duquel le chanteur Renaud, revenu après une longue absence et une profonde dépression, répond sur son âge avancé, et dit ce que la vie lui appris ("souffrir intensément et aimer intensément"). Il parle aussi de son tatouage dorsal qui représente le Christ ; il croit toujours en l'amour et "tombe amoureux chaque jour", en particulier au cinéma devant les actrices. A ce propos il fait une déclaration à Virginie Efira, s'adressant à elle face caméra.
Avant son premier passage dans une grande salle parisienne (Le Théatre de la ville), le chanteur RENAUD se présente lors d'une interview au comptoir d'un bar. Il décline son identité et ses origines, parle de son échec scolaire avec humour ("j'ai poursuivi mes études en courant autour de la cour et je ne les ai pas rattrapées"), de ses premiers petits boulots pour payer les crédits de ses premières motos et, "ramener la paye à la maison pour pas qu'on le vide". Il a écrit ses premières chansons en 1968.
A l'occasion de la sortie de son nouvel album, "Boucan d'enfer", après sept ans d'absence, sur le plateau de Thé ou café, Renaud évoque son enfance, dit qu'il ne cultive pas la nostalgie car cette enfance était si belle qu'y repenser le fait souffrir.
Reportage avec RENAUD sur le tournage de "Germinal", de nuit. Il chantonne "Lampiste" avec des mineurs qui sont figurants dans le film. Interview Renaud où il dit son affection pour les mineurs avec qui il a tourné. il se dit bouleversé par ces gens qui se sont livrés à lui. Au cours du reportage, devant les figurants, il se moque de Gérard Depardieu, qui est "à Quiberon, où il mange des yaourts à dix sacs".
Sur le plateau de l'émission Du côté de chez Fred, le chanteur RENAUD évoque avec Frédéric MITTERRAND le rassemblement qu'il a organisé le 8 juillet 1989 en marge du sommet des pays les plus riches, pour réclamer l'annulation de la dette des pays en voie de développement. Il évoque son indignation face aux grands banquiers, les maitres du monde, paradant à Paris pendant que les deux tiers de la planète sont sous leur emprise, et face aux pays occidentaux qui s'enrichissent au détriment de ces pays pauvres. Il conclut en évoquant la France, "où on produit trop et où il faut créer les restaurants du coeurs pour nourrir les exclus. La bourse pavoise, les usines ferment ; c'est des slogans mais c'est des choses qui me touchent. Je n'arrive pas à comprendre ce système là."
Interview de RENAUD au cours d'un reportage dans un terrain vague et un bistrot dans lequel il se rend avec DOMINIQUE Lanvin, sa compagne et future mère de sa fille. RENAUD pense être apprécié des jeunes urbains car il raconte des histoires et des situations qu'ils connaissent et il parle le même langage qu'eux. Le bistrot est sa "seconde maison" ; selon lui c'est un lieu de communication privilégié pour les jeunes, "là que tout se passe (...) l'endroit où on refait le monde et où l'on rêve"
RENAUD entouré de GAINSBOURG et CAVANNA, lance un coup de gueule contre les nouvelles générations "Les petits lycéens de merde", et propose de lancer l'expression "parents de cons", puis s'exprime sur la liberté d'expression "J'ai jamais été pour" et la défense de "Charlie Hebdo".