André Raimbourg, dit Bourvil (1917-1970) est un acteur, chanteur français très populaire, indissociable des plus grandes comédies cultes du cinéma. Ses chansons et ses sketches restent également dans les annales de la comédie française.
Bourvil
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Micheline SANDREL s'entretient avec BOURVIL et Georges GUÉTARY tous deux à l'affiche dans l'opérette "Pacifico" de Paul Nivoix au théâtre de la Porte Saint Martin à Paris. Ils évoquent leur rôle puis BOURVIL chante à capella un extrait de "Bonne Année", tandis que Georges GUETARY interprète à capella un extrait de la chanson de l'opérette "Pacifico".
En direct des Champs Elysées à l'occasion de la première du film "La Grande Vadrouille" de Gérard Oury au cinéma "L'Ambassade", François GAY interviewe Louis de FUNES et BOURVIL sur leur rôle. Le premier avoue avoir pris des leçons de conduite d'orchestre pendant un mois, le second souligne avec humour avoir porté pendant 4 jours Louis de Funès sur son dos. Il explique qu'il a failli être fort des halles, donc il était entrainé.
Dans la région d'Aix en Provence, rencontre avec Adamo et Bourvil sur le tournage du film "Les Arnaud" de Léo Joannon. Adamo, dont c'est le premier film, avoue toute son admiration à Bourvil. Ce dernier s'avoue fier de son élève et souligne que c'est lui qui l'a proposé au réalisateur pour ce film. Puis il parle du trac : "on est toujours inquiet, même moi je suis encore inquiet".
Rencontre à Nantes avec Bourvil et Annie CORDY, affichant une grande complicité, et tous deux à l'affiche dans l'opérette de Michel André, "Ouah ! Ouah !".
Annie CORDY raconte avec humour ses emplettes dans les magasins de la ville, Bourvil explique n'avoir jamais eu l'occasion de jouer des pièces dramatiques.
Fernandel évoque son ami Bourvil qui vient de disparaître. Selon lui, "il avait un charme et une humanité que dégage un acteur vrai". Il raconte leur collaboration sur le film "La cuisine au beurre" de Gilles Grangier, évoque "le rire un peu extraordinaire" de Bourvil.
Sur le tournage du film "Le Corniaud" de Gérard Oury à Menton, BOURVIL confie qu'il adore faire rire. Michèle MORGAN exprime tout son plaisir de travailler avec lui. Puis Louis de FUNÈS et BOURVIL improvisent un petit sketch où il est question d'un ver de terre qui prend un virage.
Sur le tournage du film "Les Grandes gueules" de Robert Enrico, BOURVIL parle du scénario qu'il apprécie beaucoup, de son rôle, et de son plaisir de tourner avec Lino Ventura.
Sur le tournage du film "La Cuisine au beurre" de Gilles Grangier, interview en extérieur devant une auberge de FERNANDEL et BOURVIL. C'est leur premier tournage ensemble et ils sont visiblement très heureux.
Tournage d'une scène du film "Le Mur de l'Atlantique" de Marcel Camus avec BOURVIL. Interviewes de Marcel CAMUS sur les différents personnages du film. BOURVIL souligne que c'est une histoire vraie tirée des carnets du colonel Rémy et que c'est un film comique. Présence de Sophie DESMARETS, Jean POIRET et de Reinhard KOLLDEHOFF.
Face à la caméra, BOURVIL évoque son premier rôle en 1946 dans le film "Pas si bête". Alors qu'il se produisait dans un cabaret de Montmartre, il raconte sa rencontre avec le réalisateur André Berthomieu et mime les différents traits de caractère qu'il lui a présentés.
A la tour Eiffel, Jean-pierre MOCKY explique pourquoi il a fait tourner BOURVIL à plusieurs reprises dans ses films. Il explique qu'il représente le Français moyen type et un comique humain. BOURVIL souligne qu'il aime tourner avec Mocky car il lui fait jouer des personnages qui ne ressemblent pas aux autres.
Remise des Victoires du Cinéma par Paul RIBEYRE, Ministre de l'Industrie et du Commerce, à Claude AUTANT LARA, François PERIER, BOURVIL, Danielle DARRIEUX et Brigitte BARDOT.
Au sujet du film "La Traversée de Paris", BOURVIL raconte que, quand Claude Auta-Lara proposa à Jean Gabin d'être son partenaire dans le film, Gabin répondit : "Alors, je signe tout de suite !". BOURVIL le remercie.
Interviewé par Micheline SANDREL, sur le plateau de Boulogne où il tourne le film "Le chemin des écoliers", BOURVIL exprime son plaisir d'avoir reçu une nouvelle victoire du cinéma. Avec humour, il avoue que ses camarades l'appellent désormais "maître", puis il éclate de rire.