Militante des droits humains, membre du Black Panther Party, féministe, professeur de philosophie et militante communiste, Angela Davis raconte ses combats, théorise le racisme comme instrument de domination, et critique la justice américaine.
Angela Davis
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Angela Davis, icône du black power dans les années soixante aux Etats-Unis, milite pour "la justice sociale". Selon elle, revenir sur l'histoire de l’esclavage est un "travail nécessaire pour venir à bout du racisme".
Jean-Pierre ELKABBACH bouscule un peu Angela DAVIS en lui disant qu'il "n'y a pas de goulags aux Etats-Unis" et qu'il "y a des avocats". Angela DAVIS lui rappelle qu'elle à fait "seize mois de prison" et qu'il y a de nombreux prisonniers politiques aux Etats-Unis, et qu'une des raisons pour lesquelles elle est libre : c'est la mobilisations descitoyens à travers "le mouvement".
Angela Davis, au-delà de son combat contre le racisme, s'inscrit dans le socialisme, parle de la situation économique aux Etats-Unis et de l'intérêt d'être "communiste" aux Etats-Unis.
Angela Davis célèbre militante et activiste politique dans les années soixante dix continue de militer pour les droits de l'homme aux Etats-Unis. Présente aujourd'hui au parlement européen pour dénoncer la peine de mort toujours appliquée aux Etats-Unis.
Invitée chez Bernard Pivot, Angela Davis, militante du mouvement de libération noir américain, explique qu'une des fonctions du racisme consiste à fabriquer le modèle dominant/dominé. C'est pourquoi il est, selon elle, fondamental "d'avoir une conscience antiraciste".