Chanteur, acteur, Marcel Amont est considéré comme l’un des derniers grands représentants du music-hall. Il déclare être venu à la chanson par pitrerie! Dans les clips, on le voit entouré de danseuses. Il parle de chansons fantaisistes mais aussi de tradition musicale. Il évoque ses origines familiales et son attachement à la culture occitane.
Marcel Amont
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La veille de son tour de chant à l'Olympia, Marcel AMONT déjeune avec ses parents. Sa mère, anxieuse, confie "heureusement que ce n'est pas l'Olympia tous les jours... la gloire passe après le fils". Ce qui fait rire le chanteur.
Interviewé par Pierre TCHERNIA, Marcel AMONT évoque ses débuts. Il explique ainsi être venu au métier de chanteur, uniquement par la pitrerie. De 1950 à 1954 son répertoire n'était composé que de chansons comiques. "Si je ne voyais pas les gens sourire pendant au moins vingt secondes, j'étais perdu" confie-t-il.
Interviewé par Christophe DECHAVANNE, Marcel AMONT situe son répertoire dans la chanson française. "Je suis pour l'oecuménisme dans le domaine de la chanson française" souligne-t-il.
La caméra suit le chanteur Marcel Amont pilotant un avion au-dessus du Castellet dans le Var. Passionné d'aviation, il confie "je suis convaincu des bienfaits de l'aviation".
Interviewé par Pierre WIEHN, Marcel AMONT se défend d'être un chanteur engagé, puis explique que le fait d'avoir un père communiste et une mère chrétienne pratiquante, lui a donné l'habitude de la tolérance. "Par contre il y a des gens pour lesquels je ne travaillerai jamais" souligne-t-il.
Invité par l'institut occitan de Pau où il a reçu comme prix un traditionnel bâton basque, le chanteur Marcel AMONT confie tout son attachement à la langue et à la culture occitanes. "C?est pas mal que chacun conserve sa petite particularité" confie-t-il.
Rencontre avec Marcel Amont, à l'Université du Temps Libre à Pau, à l'occasion de la sortie de son livre de souvenirs "Sur le boulevard du temps qui passe". Avec humour, il raconte l'enregistrement de son premier disque mêlant béarnais et français en 1963 et son accueil par sa maison de disque allemande. Puis il revient sur sa traversée du désert : 23 ans sans sortir un disque, et la difficulté de faire des concerts en province avec un public "un peu endormi".