Le professeur Bernard DEBRÉ évoque les motifs de la grève dans l'hopital public suite au projet d'interdiction qui serait faite aux médecins travaillant dans le public d'exercer également dans un cabinet privé.
Bernard DEBRÉ (député UMP de Paris) évoque les statistiques du chômage en France qui sont, selon lui, mensongères : "M. Hollande et M. Ayrault nous mentent, il y a 17 500 chômeurs en plus, c'est pas l'inversion de la courbe. Ils ont ponctionné l'argent des Français et des entreprises. Il faut rendre du pouvoir d'achat aux Français et de la compétivité aux entreprises."
En première partie de Georges Brassens en 1972 à Bobino, Maxime LE FORESTIER évoque sa rencontre avec le chanteur, anxieux à l'époque de revenir sur scène après 5 ans d'absence. Il parle de son admiration et de l'influence qu'a eu Brassens sur sa vie et sa carrière.
Romy SCHNEIDER évoque sa rencontre déterminante avec le cinéaste italien Luchino Visconti, grâce à Alain Delon. "J'étais très fascinée quand je l'ai vu la première fois dans sa maison" souligne-t-elle.
Sur le tournage de son dernier film "Une histoire simple", le réalisateur Claude SAUTET donne des conseils à Romy SCHNEIDER pour le tournage d'une scène. L'actrice explique quelles sont les qualités du metteur en scène qui la touchent en tant qu'actrice. "C'est quelqu'un qui donne autant que nous" souligne-t-elle.
Maxime LE FORESTIER refuse d'être affublé de l'étiquette de chanteur contestataire dans un souci de sincérité envers son public. "Il faut faire attention de ne pas faire de la démagogie avec la contestation".
Interviewée par Mario BEUNAT, l'actrice Romy SCHNEIDER parle de l'évolution de sa carrière, de son besoin de faire autre chose que Sissi. Elle affirme avoir volontairement interrompu une carrière qui était prometteuse en Allemagne, tout en en mesurant le risque.
Sur le plateau de Thé ou Café, Maxime LE FORESTIER évoque le fardeau qu'a representé pour lui son premier succès (San Francisco) : "un gros tube, ça peut être le meilleur ennemi du chanteur".
Actuellement en concert avec sa soeur Catherine à la Gaité Montparnasse, Maxime LE FORESTIER parle avec enthousiasme de son métier de chanteur et du plaisir qu'il ressent à être sur scène dans un spectacle "non conventionnel". Il s'agit de l'une de ses premières interviews diffusées à la télévision.
Interviewée par Michel DRUCKER à Berlin, Romy SCHNEIDER alors en tournage pour le film "Portrait de groupe avec dame" d'Aleksandar Petrovic, évoque avec beaucoup d'émotion son attachement pour Berlin. Bien qu'évoquant son sentiment d'être "une double étrangère" dans ce pays, elle avoue que Berlin et les Berlinois la toucheront profondément, toujours.
Interviewée par Claude COUDERC sur le tournage du film d'Andrzej Zulawski, "L'important, c'est d'aimer", Romy SCHNEIDER avoue ne pas se considérer comme une star, d'ailleurs ce mot "l'emmerde".
Interviewée par France ROCHE, l'actrice Romy SCHNEIDER parle de son anxiété qui disparait lorsqu'elle retrouve son fils et son mari, et de son besoin d'être aimée.
Maxime LE FORESTIER évoque l'écriture de son dernier album intitulé "Le cadeau". Lorsqu'il écrit, il reste enfermé chez lui jusqu'à trouver la bonne alchimie dans chacune de ses chansons.
Georges BRASSENS et Maxime LE FORESTIER évoquent les premiers chanteurs s'accompagnant à la guitare. Georges BRASSENS cite Tino Rossi comme l'un des précurseurs en la matière ce qui cause l'hilarité générale sur le plateau. Maxime LE FORESTIER parle, quant à lui, du guitariste Barthélémy Rosso comme l'un de ses modèles.
Maxime LE FORESTIER explique l'origine de sa chanson "être né quelque part" et de son refrain '"les hommes naissent libres et égaux en droit". Il évoque la richesse du multiculturalisme dans l'école de son fils à Paris et espère qu'elle perdurera.
A Paris, la peinture contemporaine vient d'entrer au musée du Louvre : Georges Braque a été appelé à décorer le plafond de la salle Henri II du musée. Commentaire sur des images de l'inauguration en présence du peintre et d'André Cornu, secrétaire d'État aux Beaux-Arts, et des vues du plafond Renaissance, qui s'orne maintenant d'oiseaux peints par Braque.
Cent cinquante oeuvres du peintre Georges Braque sont exposées en ce moment à la galerie Art Cadre, à Paris. Il s'agit de la quatrième période de l'artiste, intitulée les "Métamorphoses". En 1961, âgé de 80 ans, Georges Braque décide de transformer une centaine d'oeuvres essentielles en lithographies, tapisseries, sculptures et bijoux. Le commentaire sur les oeuvres exposées et des archives de Braque lors de l'inauguration de son exposition au Louvre en 1961 alterne avec l'interview d'Armand ISRAEL, expert et ayant-droit de Braque. Selon lui, "On peut dire que Braque a inventé les produits dérivés".
Près de 50 ans après la mort de Georges Braque, le Grand Palais consacre une exposition au peintre. Le commentaire sur des images des oeuvres de Braque, du cubisme jusqu'à ses derniers paysages, des photographies, des archives et des vues de Varengeville et son cimetière marin alterne avec les interviews de Brigitte LEAL, commissaire de l'exposition, et Dominique DUTHU, conseillère municipale de Varengeville-sur-Mer.