Pour sa première apparition en France depuis 2007, Michel POLNAREFF a créé l'évènement à Montluçon (Auvergne) où il a inauguré une exposition qui lui est consacrée au MuPop, le musée des musiques populaires de la ville, et il était bien évidemment attendu par de nombreux fans. Images de l'arrivée tout en discrétion, avec gardes du corps et sirène, du chanteur dans une énorme Cadillac blanche décapotable, puis visitant le musée, avec en alternance l'interview d'un fan (avec perruque et lunettes) et du chanteur (combinaison blanche, chapeau de cow-boy et, évidemment, ses éternelles lunettes blanches) qui avoue être honoré d'être récompensé de la sorte de son vivant.
A l'occasion des élections présidentielles américaines, Jean-Pierre ELKABBACH, en studio aux Etats-Unis, s'entretient avec Michel POLNAREFF. Le chanteur (affichant son amour de la France, en survêtement avec coq tricolore) parle du protectionnisme culturel des Etats-Unis, et le comprend.
Interview de Michel POLNAREFF par Christophe IZARD (off) sur la première partie du spectacle de Claude François à l'Olympia qu'il a refusée car ne se sentant pas prêt à faire une grande scène parisienne pour le moment. Il s'en explique.
En duplex de Los Angeles, Michel POLNAREFF (coiffure colorée), à l'occasion de la sortie de son dernier album, est interviewé de Paris par Laurent DELAHOUSSE, et évoque l'exigence, parfois violente, que son père avait envers lui quant à l'apprentissage du piano : "Est-ce que je devrais en vouloir à mon père pour m'avoir traité en esclave des musiciens classiques ?... C'est vrai que 10 heures de piano par jour, c'est vraiment beaucoup... Je ne lui reproche pas les leçons de piano mais les coups de ceinture à chaque fois que je faisais une fausse note... Mais je lui ai pardonné dans ma tête..."
Michel POLNAREFF (barbe naissante et cheveux plaqués en arrière), interviewé en duplex depuis le "Royal Monceau", à Paris, par Hervé CLAUDE, à l'occasion de la sortie de son album "Kâma-Sûtra", explique les raisons de sa réclusion volontaire dans ce palace parisien : "J'ai toujours eu des problèmes avec le monde, j'aime bien être un peu à l'écart, ça me permet de pouvoir créer, de pouvoir me retrouver, mais je ne suis pas un complet sauvage, la preuve, c'est que j'ai du plaisir à parler avec vous ce soir."
Michel POLNAREFF parle de sa sexualité et clame qu'il n'est pas homosexuel. Interview entrecoupée par un très (très) bref extrait de la chanson "Je suis un homme". Le chanteur affirme qu'un jour il sera fatigué et qu'il perdra sans doute son calme devant les accusations d'homosexualité : "Moi, je suis très, très nerveux... Lorsque l'on me traîte de pédé... Un jour, c'est certain, ça va partir..."