Des passants sont interviewés sur le don du sang : sont-ils donneurs de sang ? Et si tel n'est pas le cas, quelle en est la raison. La plupart avouent n'avoir jamais donné leur sang.
A l'école HEC, des étudiants ont répondu à un appel les incitant à donner leur sang. Ce sang doit alimenter les hôpitaux du front pour sauver des soldats blessés.
Collecte de sang organisée à Marseille, au palais de la Bourse, par l'association des donneurs de sang bénévoles. La caméra suit un homme venu donner son sang puis prenant ensuite une collation avec d'autres donneurs.
Au Centre National de Transfusion à Paris, interviews de donneurs qui expliquent les raisons qui les ont poussés à donner leur sang. L'un explique qu'il a donné pour la première fois sur son lieu de travail, un autre pour son ami malade.
A Paris, devant le camion du Centre National de Transfusion Sanguine, des passants sont interviewés sur ce qu'ils pensent du don du sang. Un monsieur estime que "c'est un geste de solidarité que tous les Français devraient connaître". Une jeune femme souligne : "les noirs, les blancs, les jaunes, on a tous le même sang, il est rouge". Une vieille dame avoue avoir donné 55 fois son sang et a reçu une médaille.
Les 72 habitants du village de Fargues sur Ourbise, dans le Lot et Garonne, sont champions de France du don du sang. Un citoyen sur cinq donne son sang, cinq fois par an. L'un d'entre eux raconte comment ils sont arrivés à cet exploit, grâce à la motivation du facteur du village.
L'ouverture du 2ème planning familial, après celui de Grenoble qui a ouvert la voie, est un lieu de conseil et d'informations précieuses que les couples ou femmes sont venus chercher pour réguler les naissances et lutter contre l'avortement. Le commentaire sur des images du centre alterne avec des interviews de couples et de femmes sur leurs attentes et leur situation.
Le président du Conseil général de l'Essonne, Jérôme GUEDJ, vient d'adopter le lancement d'une réflexion sur l'accompagnement sexuel par des professionnels pour les personnes handicapées. Commentaire sur images factuelles et interviews Frédéric (handicapé) et Jérôme GUEDJ (président PS du Conseil général de l'Essonne).
Témoignage anonyme d'une assistante sexuelle suisse qui réfute le terme de "prostitution" pour définir son activité de prestation sexuelle tarifée auprès de personnes handicapées.
En Suisse, l'assistance sexuelle pour personnes handicapées est reconnue par la loi. Deux assistants sexuels diplômés, Jacques Arnould et Judith Arreger, témoignent de leur expérience.
Charly VALENZA, président de l'association "Asexybilité", souhaite légaliser en France l'assistance sexuelle aux personnes handicapées, comme c'est déjà le cas en Suisse ou aux Pays-Bas. Il témoigne.
Portrait de la snowboardeuse Cécile HERNANDEZ, athlète atteinte de la sclérose en plaques. Les images de Cécile descendant une piste sur son snowboard et en train de s'échauffer alternent avec une interview où elle explique son combat pour le sport et contre la maladie. Elle conclue par : "Le sport c'est ma vie et la vie est un sport."
Sur le plateau de l'émission, le neurologue François LHERMITTE, oncle de l'acteur Thierry LHERMITTE, explique la dénomination de la sclérose en plaques. Il montre ensuite des dessins des liaisons du cerveau, décrites dans un ouvrage de Charcot.
A l'Institut du cerveau et de la moelle épinière (ICM), des chercheurs travaillent sur les mécanismes de la sclérose en plaques. Violetta ZUJOVIC, docteur en neurosciences à l'ICM et chercheuse à l'Inserm, explique le fonctionnement de la maladie à l'aide d'images de synthèse.
Les infirmières et agents hospitaliers de la Tronche manifestent contre " l'hôpital-usine". Ils estiment que l'hôpital public manque de personnel et que les conditions de travail sont déficientes.
Les infirmières en grève manifestent dans la rue contre l'annulation d'un décret, sur plainte de médecins biologiste, qui élargissait le champ de leur compétence. Interview l'une d'entre elles : "notre situation est difficile au niveau des hôpitaux car trop peu de personnel ; en libéral il existe une rémunération à l'acte, toute dimension humaniste est enlevée ".
Les infirmiers et infirmières campent depuis 5 nuits avenue de Ségur, devant le ministère de la Santé, afin d'obtenir une réponse à leurs revendications. Reportage au milieu du campement des infirmières qui reçoivent de nombreux témoignages de solidarité. Interviews de Rosie MEDINA, infirmière, d'Eric RABETTE, infirmier à Limoges et Maurice BENZAKIN, infirmier en psychiatrie.