Angela Davis, icône du black power dans les années soixante aux Etats-Unis, milite pour "la justice sociale". Selon elle, revenir sur l'histoire de l’esclavage est un "travail nécessaire pour venir à bout du racisme".
Jean-Pierre Elkabbach bouscule un peu Angela DAVIS en lui disant qu'il "n'y a pas de goulags aux Etats-Unis" et qu'il "y a des avocats". Angela Davis lui rappelle qu'elle à fait "seize mois de prison" et qu'il y a de nombreux prisonniers politiques aux Etats-Unis. Elle est libre grâce à la mobilisation des citoyens à travers "le mouvement".
Angela Davis, au-delà de son combat contre le racisme, s'inscrit dans le socialisme, parle de la situation économique aux Etats-Unis et de l'intérêt d'être "communiste" aux Etats-Unis.
Angela Davis célèbre militante et activiste politique dans les années soixante dix continue de militer pour les droits de l'homme aux Etats-Unis. Présente aujourd'hui au parlement européen pour dénoncer la peine de mort toujours appliquée aux Etats-Unis.
Amélie Nothomb s'entretient avec Patricia Martin et Michel Field sur les thèmes de son livre "Hygiène de l'assassin", dans lequel elle égratigne journalistes et lecteurs.
Ambroise Roux, industriel et vice-président du CNPF, évoque les relations économiques entre les Etats-Unis et l'Union européenne, notamment dans le domaine agricole.
Interviewé par François Gault, Ambroise Roux, industriel et vice-président du CNPF, évoque les mesures gouvernementales facultatives en faveur de l'actionnariat populaire : "A partir du moment où ces mesures sont facultatives et non pas obligatoires, il y a le possibilité de s'adapter à la situation de chaque entreprise et d'avoir ce geste positif..."
En plateau, Ambroise Roux, vice-président du CNPF, évoque une de ses passions hors de l'économie, la parapsychologie et, paradoxalement, regrette que cette "science" soit étudiée partout dans le monde, sauf en France, lui qui a été le principal responsable, en 1975, du sabordage de l'Internet dans l'hexagone, travaux repris par les chercheurs américains et anglais.
Manifestation de l'opposition en Biélorussie pour protester contre la réélection d'Alexandre Loukachenko avec plus de 82 % des voix. Plusieurs milliers de personnes sont à nouveau descendues dans la rue. Extrait du discours à l'assemblée du président réélu, Alexandre Loukachenko.
Le président biélorusse, Alexandre Loukachenko, en poste depuis 1994, a donné une interview à des journalistes français : "Je n'ai jamais été un dictateur, je ne le serai jamais... Jamais je n'ai fait de mal à qui que ce soit, jamais !..."
Alexandre Loukachenko règne en maître sur la Biélorussie depuis 1994, ce qui fait de ce petit pays de 9 millions d'habitants la dernière vraie dictature d'Europe. Explications de Alexandre Loukachenko lui-même, président de la République, Iossif Syaredzich, rédacteur en chef du journal "La volonté du peuple", Nikolai Khazelin, fondateur du théâtre libre de Biélorussie, et opinion d'une ouvrière.
Compte-rendu de la visite de Brigitte Macron et des épouses des dirigeants présents au G7, à Espelette, petit village basque. Commentaire sur images factuelles en alternance avec les interviews de Jean-Marie IPUTCHA, maire d'Espelette, de Ramuntxo LECUONA, producteur de piments d'Espelette et le témoignage de deux vendeuses d'une boutique de linge basque.
En déplacement à Dijon avec le ministre de l'éducation Jean Michel BLANQUER, Brigitte MACRON s'est exprimée sur son rôle de Première dame et les causes qu'elle souhaiterait défendre.
Brigitte MACRON a participé à son premier déplacement officiel à l'étranger en tant que Première dame. En compagnie des autres épouses de chef d'Etat, elle a visité le musée Magritte de Bruxelles. Commentaire sur images factuelles entrecoupé de l'interview de Brigitte MACRON.
Brigitte Macron s'est rendue au zoo de Beauval pour le baptême d'un bébé panda nommé Yuan Meng. Elle y prononce son premier discours officiel en tant que Première dame. Cette cérémonie a une portée très diplomatique à quelques semaines du déplacement d'Emmanuel MACRON à Pékin.
Philippe LEFAIT reçoit le philosophe Bernard STIEGLER au sujet de son livre "Etats de choc". Bernard Stiegler, co-fondateur de l'association Ars industrialis et directeur de l'IRI (Intitut de recherche et d'innovation), parle du développement du numérique et notamment de Facebook qu'il considère comme un modèle très toxique de développement. Il utilise le concept de Pharmakon pour indiquer que le numérique est comme un médicament qui renferme une toxicité qu'il faut chercher à limiter.
Philippe LEFAIT reçoit le philosophe Bernard STIEGLER au sujet de son livre "Etats de choc". Bernard Stiegler, co-fondateur de l'association Ars industrialis et directeur de l'IRI (Intitut de recherche et d'innovation), parle de ses réserves concernant l'utilisation du numérique à l'école.