Les retombées économiques des jeux olympiques sont énormes. Pour le cas de Paris 2012, les jeux génèreraient 6 milliards de dépenses et l'équivalent de 60 000 années de travail. Atos Origine, une société d'informatique implantée à la Défense, a un contrat avec le CIO. Elle va profiter des jeux olympiques de Pékin pour s'y implanter et même attaquer le marché chinois. Son PDG Bernard BOURIGEAUD détaille les chiffres du déploiement de son entreprise sur le marché chinois. René ABATE, économiste, donne ses estimations quant à une participation de Paris aux JO de 2012 concernant les emplois créés.
Reportage consacré aux Jeux Olympiques de Paris 2024 et leur potentiel impact sur le département de la Seine-Saint-Denis. Commentaire sur alternance d'images factuelles, d'infographies et d'interviews. Trésor MAKUNDA, médaillé de bronze aux 400 m des jeux paralympiques de Londres, rencontre des enfants de la Seine-Saint-Denis : tous expriment leur enthousiasme. Eric BATAILLY, président du Comité départemental olympique de Seine-Saint-Denis évoque la construction d'équipements sportifs construits pour l'occasion qui pourront être pérennes. Stéphane TROUSSEL, président du conseil départemental de Seine-Saint-Denis (PS) parle de la nécessité de construire des infrastructures pour être en mesure d'accueillir les JO dans le département.
Extrait d'un reportage consacré à la préparation des Jeux Olympiques d'hiver à Sotchi. Le snowboarder Xavier DE LA RUE, présent sur place explique que le rythme des travaux est effréné quand les habitants de Krasnaïa Poliana, petit village destiné à recevoir les épreuves de montagne sont plutôt mitigé quant à la tenue de l'évènement chez eux.
Julien MARCHAND, jeune talonneur du stade toulousain, rejoint l'équipe de France des moins de 20 ans en Italie comme remplaçant. Il est accueilli par Fabien PELOUS et les autres joueurs. ITW Julien MARCHAND qui déclare qu'il est resté en contact avec les entraîneurs de l'équipe de France par mails
Rencontre avec Thomas RAMOS, prêté par le Stade toulousain pour jouer à l'U.S. Colomiers en Pro D2. ITW Philippe FILIATRE, entraîneur des 3/4 U.S. Colomiers Rugby. Selon lui, c'est un bon sytème que de jeunes joueurs prometteurs qui n'ont pas encore leur place au top XIV, puissent s'émanciper en Pro D2 avant de retrouver le très haut niveau. ITW de Thomas RAMOS : "J'ai du travailler à accomplir encore... pour un joueur comme moi il vaut mieux jouer en Pro D2 que continuer à jouer en espoir, ça nous forme un peu plus."
Cameron WOKI, jeune joueur de l'Union Bordeaux Bègles (UBB), est sélectionné pour le tournoi des Six nations. Julien LAIRLE (Entraîneur des avants Bordeaux Bègles) analyse son jeu : "C'est un joueur tourné vers l'offensif, qui se déplace beaucoup sur le terrain... dans le secteur aérien c'est l'un des meilleurs du top XIV... c'est un jeune joueur, il faut qu'il continue à travailler".
Le Comité d'organisation français des Jeux olympiques souhaite organiser les épreuves de surf à Tahiti en 2024 sur la vague exceptionnelle de Teahupoo. Tony Estanguet, président du comité Paris 2024, estime qu’il s’agit du meilleur spot de surf français. Le surfeur Jérémy Florès lui craint que le site ne soit pas très accessible pour le public même s’il reste le plus spectaculaire.
Reportage à Teahupoo, sur la presqu’île de Tahiti, en Polynésie française, site retenu pour les épreuves de surf des Jeux olympiques de Paris 2024. L'endroit est connu pour ses vagues « parfaites », selon le surfeur hawaïen Nathan Florence, mais aussi particulièrement dangereuses.
Ben Thouard, photographe sous-marin, tente inlassablement de capturer la beauté et la puissance de la vague de Teahupoo, en Polynésie française, dont le "tube parfait" attire les surfeurs du monde entier. Il évoque également les dangers auxquels il s'expose en s'immergeant au plus près de ce mur d'eau.
Une fois par an, la vague mythique de Teahupoo, dans la presqu'île de Tahiti, en Polynésie française, se forme et attire les meilleurs surfeurs du monde. Les villageois, comme Vito Teai et Nelson Teuira, consentent à partager leur "petit coin de paradis" le temps de la compétition et à accueillir les participants du Gotcha pro Tahiti.
Compte rendu d'une épreuve du Gotcha Pro Tahiti, compétition du championnat du monde de surf, qui se déroule à Teahupoo, en Polynésie française, sur une vague mythique. Le surfeur américain Johnny Boy Gomes se réjouit des conditions idéales et le français Malik Joyeux, qui lui a ravi la première place, exprime sa satisfaction.
La médiatisation du Gotcha pro Tahiti, épreuve du championnat du monde de surf, contribue à la renommée internationale de la vague de Teahupoo, en Polynésie française. Les investissements de la compagnie américaine organisatrice ont fait de l'épreuve un événement mondial et les habitants de cette petite commune de la presqu'île de Tahiti bénéficient de retombées économiques comme l'attestent Jennifer Ramsom, attachée de presse, Matt Jacobson, PDG de Broadband interactive group, et Kenny Jacob, PDG de Gotcha Europe.
Lors des Jeux olympiques de Paris 2024, le village de Teahupoo, en Polynésie française, accueillera les épreuves de surf. Marc Dauphin, gérant d'une maison d'hôtes, a lancé la construction de nouveaux bungalows, déjà réservés pour 2024. Mais certains habitants craignent que la construction d'infrastructures ne détériore leur cadre de vie. La ministre des sports de Polynésie assure que tout sera démontable.
La vague mythique de Teahupoo, en Polynésie française, est décrite par Pierre Camouin, consultant de la Fédération tahitienne de surf, et Sunny Garcia, surfeur, lors du Gotcha pro Tahiti, compétition du championnat du monde de surf. Ils soulignent la spécificité ainsi que la dangerosité de ce mur d'eau qui se forme sur le récif coralien et qui a récemment provoqué le décès d'un surfeur local.
En duplex de Marseille, interview de Daniel HERRERO, ancien entraîneur du RC Toulon, sur la performance du XV de France en quart de finale de la Coupe du monde , face à la Nouvelle Zélande. Il livre ses émotions et ses impressions sur ce match et sur les prochains qui attendent l'équipe. [Source : prompteur France 2] Des villes et des villages en fête un soir d'octobre pour une seule et même raison : la victoire du rugby français... Voilà de quoi réjouir l'un de nos gardiens du temple rugbystique
Interview de Clément LAPEYRE, conseiller technique de la Ligue Lorraine de rugby, après la victoire des All Blacks sur l'équipe de France de rugby en finale de la Coupe du monde. La présence de deux Lorrains dans l'équipe de France et le beau parcours de l'équipe permet au rugby d'accroître sa popularité dans la région qui voit le nombre de jeunes licenciés augmenter. Il revient sur les valeurs du rugby. Clément LAPEYRE, vous êtes conseiller technique de rugby au niveau régional, que pensez-vous du match de la Nouvelle Zélande. Interview Clément LAPEYRE : les Blacks l'emportent sur le fil et on aurait pu y croire. La présence de deux Lorrains dans l'équipe de France permet au rugby d'accroître sa popularité et donne envie aux jeunes d'en faire. Le rgby Lorrain c'est 4000 licenciés et 11% d'augmentation depuis l'année dernière et on voit les jeunes s'y inscrire en masse. La Lorraine n'est pas terre d'ovalie mais c'est un réservoir du rugby français. Les structures sont en place en France et nous le centre régional du rugby lorrain, nous permet de récupérer les meilleurs espoirs lorrains et de leur dispenser l'entraînement et l'enseignement dont ils ont besoin. Jean Marcellin BUTTIN en est l'exemple. Petit à petit il va falloir rétrécir le niveau entre les professionnels et celui des clubs lorrains cela permettra d'avoir un club professionnel qui nous permettra de conserver nos espoirs en Lorraine.
Réactions de plusieurs joueurs du XV de France, de retour d'Auckland après leur défaite en finale de la Coupe du monde de rugby face aux All-Blacks. Interviews : Eric CHAMP, Jean-Luc JOINEL, Philippe SELLA, Pierre BERBIZIER, Daniel DUBROCA, Serge BLANCO.
Après la défaite de l'équipe de France de rugby en finale de la Coupe du monde contre les All Blacks, Jean-Pierre RIVES et Jean-Pierre BASTIAT, anciens capitaines du XV de France, expriment à la fois leur déception et leur fierté devant le parcours de l'équipe.