Yachting. 14ème Transat Jacques-Vabre entre Le Havre et Salvador de Bahia (Brésil). Ambiance sur les quais du bassin Paul-Vatine, où les skippers ont dit au revoir à leurs familles et à leurs proches avant de rejoindre la ligne de départ devant le Cap de la Hève.
Yachting. 11ème Transat Jacques-Vabre entre Le Havre et Itajai (Brésil). Gros plan sur un équipage inédit et plein d'humour à bord du monocoque IMOCA "Initiatives-Coeur", composé du skipper Tanguy de Lamotte et de l'acteur belge François Damiens. Arrivés avant derniers de la course, tous deux ont concouru pour une cause solidaire, "Initiatives Coeur", projet associant mécénat humanitaire et sponsoring sportif au profit de l'association "Mécénat Chirurgie cardiaque"
Yachting. Présentation officielle à Paris de la 1ère édition de la Route du Café Jacques-Vabre entre Le Havre et Carthagène (Colombie), en présence de nombreux skippers, dont le Havrais Paul Vatine et le Franco-Suisse Laurent Bourgnon.
Yachting. Dans la 7ème Transat Jacques-Vabre entre Le Havre et Salvador de Bahia (Brésil) rencontre avec des skippers de monocoques qui font un dernier point sur le ponton avant leur départ prévu dans la journée.
Yachting. 8ème Transat Jacques-Vabre entre Le Havre et Salvador de Bahia (Brésil). Gros plan sur le bilan économique pour la ville du Havre : 260 000 visiteurs, une couverture médiatique importante, des hôtels et des restaurants très fréquentés, alors que la municipalité a investi près de 1 million d'euros pour cet événement sportif.
Yachting. 14ème Transat Jacques-Vabre entre Le Havre et Salvador de Bahia (Brésil) : interview des deux vainqueurs dans la catégorie monocoque IMOCA, le Breton Yann Eliès et le Havrais Charlie Dalin. Tous deux soulignent la performance technique du bateau mis à l'eau seulement trois mois auparavant.
Dans sa revue de presse, le journaliste Frédéric Fraisse, évoque la une du magazine sportif "L'Equipe magazine" avec l'interview du rugbyman gallois Gareth Thomas sur la révélation de son homosexualité. Premier international de rugby à faire "son coming out", il a été surpris de la bonne réaction dans son milieu sportif.
Dans une école de rugby à Suresnes, dans les Hauts de Seine, l'encadrement se soucie de la protection des jeunes joueurs. Jo Mwema, coordinateur des moins de dix ans, veille à leur inculquer les bons gestes pour éviter les comportements violents. Jérémy Nicault, responsable sportif de l'école de rugby, soutient la décision la Fédération, intervenue après le décès de trois joueurs, d'interdire les plaquages pour les moins de huit ans et de privilégier l'évitement. Pierre Lemoual, apprenti rugbyman de neuf ans, semble conscient des dangers de ce jeu mais, selon lui, "il faut juste croire en soi".
Walter Spanghero, "le joueur le plus cabossé du rugby français", détaille les multiples fractures qui ont émaillé sa carrière. En costume de ville, il montre où se situent ses différentes blessures sur un squelette. Il raconte comment il a réduit lui-même une luxation de la clavicule et comment il s'est fracturé la main en voulant "bouger un adversaire".
Le joueur de rugby Pierre Albaladejo, demi d'ouverture de Dax et du XV de France, est interviewé par Georges de Caunes. En convalescence après une blessure à la cheville, il explique les circonstances de l'accident, lors d'un plaquage sur terrain dur, en Italie. Il espère être remis pour le quart de finale du championnat de France contre Vichy.
Les rugbymen du FC Grenoble ne sont pas épargnés par les blessures, fréquentes dans ce sport. Jacques Delmas, l'entraîneur, estime que, les joueurs passant beaucoup plus de temps sur le terrain, le corps a du mal à suivre. Jean-Claude Peyrin, médecin du club, souligne que les blessures sont d'abord des lésions de contact dûes aux engagements violents. Denis Lison, trois-quarts centre, craint de prendre du retard dans l'entraînement le temps de sa remise en forme mais Jean-Max Verney, kinésithérapeute, insiste sur la nécessité d'une reprise progressive.
Le professeur Jean Chazal, invité à la suite du décès d'un jeune rugbyman, Nicolas Chauvin, alerte depuis plusieurs mois sur les dangers du rugby. Selon le neurochirurgien, la ligue de rugby "s'est cachée derrière un arbre qui s'appelle la commotion cérébrale", "mais derrière cet arbre, il y a toute une forêt de blessures" qui ont récemment provoqué trois décès. Pour lui, il est urgent de réagir.
Et pourquoi pas devenir moniteur de skis, Patricia Falconnet, monitrice ESF à Courchevel, nous en dévoile le charme. Bernard Chevallier, Président du syndicat des moniteurs de ski, évoque les contraintes de ce métier.
La demande des skieurs étrangers était forte aussi la station de Méribel Les Allues et l'école du ski français ont organisé des stages de formation en langue anglaise pour les moniteurs. Et des cours de skis collectifs sont d'ores et déja proposés en langue anglaise. Interview de Gérard GUERVIN, directeur de l'ESF Meribel
La sélection des futurs moniteurs de skis de l'ESF est rigoureuse et très sélective. Pour intégrer l'Ecole Nationale de skis et d'Alpinisme (ENSA) Timothé doit tout d'aborb être dans les temps sans son épreuve de slalom.
En France, tous les moniteurs de skis de l'ESF ont été formés à l'Ecole Nationale de Ski et d'Alpinisme (ENSA). Dans ce reportage nous suivons un groupe de futurs moniteurs au cours d'une formation sur le terrain et en salle de cours.
Pour dévaler les pistes de la Vallée blanche, notamment dans la poudreuse, les skieurs doivent maîtriser la technique de la godille. Aussi James COUTTET, a créé des stages spécifiques pour l'appentissage de cette technique.
5 ans après avoir été désignée comme ville olympique, les avis St partages en matière de retombées positives ou négatives. Certains habitants voient plus d'inconvénients que d'avantages, d'autres y voient plus de points positifs. Le chargé de mission des JO parle de l'importance des changements dans la ville. Quant au président office du tourisme, c'est pr lui une occasion unique de changer la ville. Interview d'un habitant. Interview d'Edouard WIECZOREK, chargé de mission des jeux olympiques.
Reportage consacré aux retombées économiques des JO de Londres 2012. Ce sont les premiers Jeux rentables de l'histoire avec 50 milliards de recette et la création de 800 000 emplois. Le budget fut maitrisé et les investissements durables et rentables : en effet les infrastructures créées à l'occasion de cet évènement servent encore aujourd'hui aux Londoniens. Commentaire sur images d'illustration et interview d'une fillette faisant part de son entousiasme de pouvoir se baigner dans une piscine olympique.
Le maire de Paris, Bertrand DELANOE, explique que la tenue des JO à Paris impacterait positivement les travaux dans la commune et permettrait également à cette dernière de se doter d'équipements et d'infrastructures sportives.