Dans les allées du tournoi de Roland-Garros, lors d'une petite caméra cachée-gag, Patrick Montel, faux inspecteur de la sécurité, réprimande une jolie hôtesse, trop statique à son goût...
L'organisation du Meeting de la Solidarité (athlétisme) dans le stade de Sarajevo (Kosevo Stadion), sur les lieux des Jeux olympiques d'hiver de 1984, est un beau symbole de paix, dans la capitale de Bosnie-Herzégovine ravagée par cinq années de guerre, mais une avalanche de forfaits tempère néanmoins l'enthousiasme. Patrick Montel commente l'absence d'athlètes, notamment français et américains, et d'après lui, ces absences sont dues au manque de dollars et de primes à la clé, la participation étant bénévole....
En duplex de Fort-de-France, sur la piste d'un stade, Patrick Montel évoque les difficiles conditions météorologiques que doivent affronter les athlètes français pour les Championnats de France qui se déroulent ce week-end en Martinique.
En plateau, histoire drôle racontée par Patrick Montel sur le thème "Pas facile de draguer quand on a 20 ans en 1976, toutes les filles étant folles de "l'Ange vert" de Saint-Etienne, Dominique Rocheteau" (présent sur le plateau).
En plateau, Patrick Montel interroge Marie-José Pérec à quelques jours des Championnats du monde d'Athlétisme de Stuttgart, notamment sur ses projets sportifs et le fait dans l'avenir de s'attaquer au 400 m haies et à son record du monde.
En plateau en situation dans un club de culturisme, Patrick Montel parle des produits utilisés pour l'entraînement : "Je viens de mesurer mon biceps, c'est pas terrible, je dois faire à peu près 30 cm, ça veut dire environ à 20 cm des champions... Mais dans le culturisme, la diététique représente 50 % de la réussite, je vais donc acheter quelques produits..."
En plateau extérieur, lors d'une étape du Tour de France, Patrick Montel présente le coureur Alain Bondue, considéré comme un mauvais grimpeur (il s'agit d'une des toutes premières apparitions à l'écran du journaliste) : "Longtemps après Delgado ou Bernard Hinault, voici maintenant Alain Bondue qui arrive... Alain Bondue que l'on pourrait qualifier pudiquement de non-grimpeur..."