La rivalité entre les deux pilotes de Formule 1, de l'écurie McLaren, Alain Prost et Ayrton Senna, a poussé Senna à la faute. Lors du dernier grand prix, au Japon, comptant pour le championnat du monde, les deux pilotes se sont accrochés. Senna est disqualifié et Prost remporte le championnat du monde. Interviewé sur cet évènement, Alain PROST explique : "... je suis un peu énervé parce que bon, une petite altercation avec mon coéquipier, et bon ça m'énerve parce que c'est bien dommage d'en arriver là, pour lui serrer la main, absolument impossible". Jean-Marie BALESTRE, président de la FIFA, s'exprime lors d'une conférence de presse.
Interviewé par Charles Villeneuve, le perchiste Pierre Quinon, médaillé d'or aux Jeux Olympiques de Los Angeles en 1984, évoque les suites financières, pas toujours faciles, de son titre...
Alain Jérôme reçoit Micheline Ostermeyer. Elle revient sur sa victoire au lancer du disque aux Jeux Olympiques de Londres à laquelle elle ne s'attendait pas.
Face à Elise Lucet, Guy Drut, Champion olympique du 110 m Haies à Montréal en 1976, explique qu'un titre olympique change tout... "On chope la grosse tête... Quand on devient pour un instant le meilleur du monde dans une discipline, on disjoncte un peu..."
Face à Catherine Ceylac, l'athlète Marie-José Pérec évoque, sans surprise, ses 2 plus grands souvenirs sportifs, les 3 médailles d'or, aux JO de 1992, Barcelone (400 m), et 1996, Atlanta (200 m, 400 m).
Alain Mimoun évoque, avec sa faconde habituelle, sa préparation culinaire et physique pour les Jeux Olympiques de Melbourne, où il remporta la médaille d'or dans l'épreuve du Marathon en 1956 : "L'entraînement, le travail, mais la cuisine, ça compte aussi, le régime alimentaire !"
L'athlète Colette Besson, Championne olympique du 400 m à Mexico en 1968, s'exprime sur l'esprit des Jeux Olympiques. Selon elle, cette compétition est un grand rassemblement pour la paix dans le monde...
Arrivée de la flamme olympique en France, où elle a commencé son parcours national du toit du Stade de France, descendue en rappel par le judoka David Douillet en personne : "L'Olympisme et cette flamme, ça symbolise tellement de choses..."
Interview du perchiste Renaud Lavillenie qui évoque les futurs Jeux Olympiques de Rio, et sa motivation suprême : "Quand on fait un meeting ou même un Championnat du monde, y'a pas les anneaux, tous ces petits détails qui vous mettent dans l'ambiance de l'Olympisme... Moi, c'est ce côté exceptionnel, l'excitation des JO qui me donne une force supplémentaire et qui fait que je me donne à fond..."
Interrogé en duplex par David Pujadas, le basketteur Tony Parker, qui apporte son soutien à la candidature de Paris aux Jeux Olympiques de 2012, explique ce que représente pour lui l'Olympisme : "Un titre NBA et l'argent que tu peux gagner, c'est une chose, mais les Jeux Olympiques, c'est différent... Parce que tu représentes ton pays, tu es fier, tu portes le maillot avec "France" dessus..."
A moins d'un an des Jeux Olympiques de Londres 2012, le judoka Teddy Riner, multiple champion du monde, évoque son rêve d'or olympique : "Je suis content de toutes mes médailles mondiales, mais je rêve d'or olympique... Je sais ce que j'ai à faire... Et pourquoi pas être porte-drapeau à Londres, ça serait un honneur pour moi, pour ma famille..."
Interview en plateau par David Pujadas de Laura Flessel, escrimeuse double Championne olympique, qui vient d'être nommée porte-drapeau de la délégation olympique française aux Jeux Olympiques de Londres 2012, qui seront aussi ses derniers. Elle évoque sa grande fierté mais aussi sa responsabilité...
La nageuse Christine (dite Kiki) Caron, vice-championne olympique en 1964 à Tokyo, explique qu'elle aimerait bien sûr faire de son mieux aux Jeux Olympiques de Mexico à venir, tout en pensant déjà à son après-carrière...
Le centre d'entraînement en altitude de Font-Romeu, dans les Pyrénées-Orientales, créé en 1968, à 1850 mètres, à l'occasion des Jeux de Mexico, concentre de multiples installations sportives afin de permettre aux champions de se préparer dans les meilleures conditions. Il fête ses 50 ans, et a accueilli des générations entières de sportifs de haut niveau, comme Martin Fourcade. Interview du champion olympique qui explique en quoi cet endroit lui a donné envie de vivre un rêve olympique...
Le gardien de but Thierry Omeyer, handballeur, de retour sur sa terre alsacienne après la très belle médaille d'or remportée aux Jeux Olympiques de Pékin, donne ses impressions de Cernay, ville qui l'a vu grandir, et explique la motivation de l'équipe qui avait déjà tout gagné, titre européen et mondial, mais à qui il manquait le titre olympique...
Le canoéiste Tony Estanguet est le nouveau porte-drapeau de l'équipe de France olympique pour les Jeux Olympiques de Pékin 2012, et il mesure l'importance de son nouveau rôle : "Le fait d'être porte-drapeau va me permettre à titre personnel de vivre quelque chose encore plus fort que d'habitude... Ce sont des émotions surdimensionnées surtout une 3ème participation aux Jeux alors que je suis double champion olympique en titre."
Interviewé après le après match amical France-Stuggart, au cours duquel il a été sifflé par le public du Parc des Princes, le footballeur Michel Platini explique : "...il s'en ai pris aux Stéphanois et surtout à moi, parce qu'on n'a pas fait des bonnes prestations ces derniers temps au Parc des Princes...dès que quelqu'un fait une passe du côté droit c'était de ma faute...j'ai demandé à sortir puisque je ne pouvais rien faire...".
Interviewée sur le soutien du public français dont elle bénéficie, la joueuse de tennis Mary PIERCE explique : "...l'année dernière à Roland Garros j'étais vraiment un peu surprise quoi, le public était vraiment derrière moi et puis heu, ça m'fait du bien, ça me rend content[e]...".
Interviewé, le gardien de but Dominique BARATELLI parle de son rapport au public dans un stade lors d'un match. Il évoque les réflexions des spectateur, amusantes ou non. Il explique : "On ne peut pas dire qu'on ne l'entend pas le public, il est juste derrière vous et il est évident qu'il peut être gênant, surtout lorsqu'on arrive à entendre des réflexions individuelles plus qu'un brouhaha collectif".
Interviewé sur le public du tournoi de Bercy, le joueur de tennis Henri LECONTE explique que les spectateurs sont différents de ceux présents à Roland Garros : "...c'est fermé, ça résonne énormément, y a aussi beaucoup de jeunes qui sont là pour voir du tennis et puis aussi pour crier, donc il faut arriver à se concentrer c'est difficile...".