Dans le Tour de France, réaction du coureur français Julian Alaphilippe après sa victoire d'étape et son maillot jaune : "Je suis content d'avoir gagné l'étape et de cette manière... Content de faire partie un peu plus de l'histoire de mon sport grâce à ce maillot jaune..."
A l'occasion du Championnat du monde cycliste à Richmond, aux Etats-Unis, interview dans son hôtel du jeune Julian Alaphilippe, membre de l'équipe de France.
Julian Alaphilippe (équipe Etixx-Quick Step), 24 ans, à 4 jours du départ de son premier Tour de France : "J'suis pas une star, j'suis un garçon normal... Dans tout ce que je fais, j'essaye d'avoir la joie de vivre... Y'a assez de gens comme ça qui font la gueule, et on a quand même de la chance..."
Après avoir été deuxième en 2016, le coureur français Julian Alaphilippe remporte sa première Flèche wallonne. Lors du dîner à l'hôtel, il fait un petit discours de remerciement... en anglais.
Le cycliste Lance ARMSTRONG, quintuple vainqueur du Tour de France, répond aux questions du journaliste sur le dopage dans le cyclisme, les nombreux décès qui ont eu lieu ces derniers mois chez les cyclistes et l'impact de ces scandales sur ce sport.
Interview de Lance ARMSTRONG qui se confie sur son cancer et la peur qui le ronge à chaque rendez vous avec ses médecins. Il explique qu'il n'y a pas de lien prouvé entre le dopage et son cancer.
Sur le rond-point de la Mède, à Châteauneuf-les-Martigues, dans les Bouches du Rhône, occupé depuis le 17 novembre par des gilets jaunes, Frédéric RENARD a recueilli les propos du célèbre chroniqueur sportif marseillais René MALLEVILLE qui s'est joint au mouvement. Il explique, avec force, qu'il ne faut pas se focaliser sur ceux qui montent à Paris mais sur ceux qui occupent le terrain en région.
Stéphane LIPPERT s'entretient, en duplex depuis le stade vélodrome, à Marseille, avec René MALLEVILLE, représentant du club de supporters de l'OM, les "Dodgers", à propos de l'éviction de Pape Diouf de la présidence de l'Olympique de Marseille. Il considère que c'est une catastrophe pour le club de football dont la gestion s'était rétablie sous sa direction.
René MALLEVILLE, vice-président du club de supporters de l'OM, les "Yankees", interrogé dans son bar "La Bretagne", à Marseille, réagit avec enthousiasme à la nouvelle du retour de Bernard Tapie à la tête de l'Olympique de Marseille.
Yves GERBAULT s'entretient avec René MALLEVILLE, ancien vice-président du club de supporters de l'OM, les "Yankees", qui analyse les causes de la défaite de Marseille en finale de la Coupe de France de football contre Sochaux.
Reportage consacré au plus célèbre des supporters de l'OM, René MALLEVILLE, âgé de 62 ans. Il est convaincu que Marseille va remporter le titre de champion de France de ligue 1 de football. Il est interrogé dans le stade de Château Gombert, à Marseille, pendant l'entraînement de son petit-fils.
René MALLEVILLE, membre du club de supporters de l'OM, les "Yankees", interrogé sur la violence lors des matchs de football amateur, parle d'un "désastre". Il déplore qu'une certaine presse se délecte de ces incidents et reconnaît ne pas avoir la solution au problème.
L'arrêt Bosman, rendu il y a 4 ans par la Cour européenne de Justice, est loin de faire l'unanimité. Cette décision permet en effet aux clubs sportifs d'engager autant de joueurs européens qu'ils le veulent, sans aucune nécessité de quota. Une dérive selon certains, dont l'entraîneur d'Auxerre, Guy Roux, qui propose d'aménager cet arrêt Bosman en imposant aux clubs de football un minimum de joueurs nationaux sur le terrain (cet aménagement n'aura jamais lieu NDD).
Jean-Marc Bosman, footballeur belge à l'origine de l'affaire qui porte son nom, et surtout du célèbre arrêt de la Cour européenne de Justice de 1995, se serait bien passé de cette soudaine notoriété... En effet, cette décision de justice contre l'Union européenne de Football (UEFA ), relative aux règles de transferts des joueurs en fin de contrat, et remettant notamment en cause le principe de quota de joueurs étrangers par équipe, a littéralement bouleversé le football européen, mais à titre personnel a ruiné la carrière du joueur. Sujets d'archives, avec interview de Jean-Marc Bosman, et interview factuel de Jean-Pierre Papin : "L'arrêt Bosman n'a apporté que des emmerdes au Foot... Parce que l'on perd un peu de son identité avec tout ça... Il y a de grandes équipes qui jouent avec aucun joueur de leur nationalité, et je trouve ça dommage..."
La Cour européenne de Justice de Luxembourg a donné raison à Jean-Marc Bosman, footballeur belge, lors de son procès contre l'Union européenne de Football (UEFA ). La cour déclare illégal le système de transfert des joueurs en fin de contrat et remet en cause le principe de quota d'étrangers par équipe... Cette décision qui entrera dans l'histoire du Football, et du sport en général, comme "l'arrêt Bosman" bouleversera littéralement les clubs européens et mondiaux.
L'arrêt Bosman, de 1995, libéralisant les règles dans le milieu du football européen, mais aussi, par ricochet, mondial, a eu des conséquences considérables pour les clubs et les joueurs, que ce soit en positif ou en négatif. Explications avec Frédéric Déhu (défenseur français du FC Barcelone), Jean-Jacques Amorfini (vice-président de l'Union nationale des footballeurs professionnels), Guy Roux (entraîneur de l'AJ Auxerre), et Marie-George Buffet (ministre de la Jeunesse et des Sports).
Jean-Marc Bosman, footballeur belge à l'origine de l'affaire qui porte son nom, et surtout du célèbre arrêt de la Cour européenne de Justice, se serait bien passé de cette soudaine notoriété... En effet, cette décision de justice contre l'Union européenne de Football (UEFA ), relative aux règles de transferts des joueurs en fin de contrat, et remettant notamment en cause le principe de quota de joueurs étrangers par équipe, a littéralement bouleversé le football européen, mais à titre personnel a ruiné la carrière du joueur. Interview de l'intéressé : "On ne me rendra jamais mes années perdues de carrière... Je me suis senti très, très seul durant ces 5 ans... Le soutien n'était pas énorme... Mais je ne regrette rien..."