Interviewée, Maria Schneider parle de son métier, actrice de cinéma : "...c'est métier très très dangereux, très (...) c'est un métier où il faut une force, une santé, une tête bien là...".
La biscuiterie de l'Abbaye vient de recevoir un trophée qui récompense les entreprises qui exportent. Ce trophée récompense également un partenariat avec Promodès qui a permis de développer une gamme de produit (sous la marque Reflets de France).
Le beau geste de la biscuiterie de Lonlay l'Abbaye pour améliorer le Noël des d'enfants défavorisés. En fin d'année dernière elle avait sorti un coffret en série limitée vendu au profit du Secours Populaire de la Haute Vienne. Comme promis les responsables de la biscuiterie ont remis un chèque d'un montant de 26588 euros au Secours Populaire.
La biscuiterie de l'Abbaye, implantée à Lonlay l'Abbaye, s'est engagée dans une politique de développement durable. L'entreprise qui emploie 176 personnes, s'est penchée essentiellement sur le conditionnement de ses gâteaux. Moins de carton, de plastique, de films ou de palettes. L'économie réalisée par cette démarche bénéfique pour l'environnement est conséquente. La biscuiterie s'est ainsi vue décernée un trophée "Ecotop" remis par Eco emballage.
Commande plusieurs associations caritatives : Croix Rouge / Médecins sans Frontières ; afin de venir en aide aux populations Kurdes expulsés d'Irak par régime des tyrans Saddam HUSSEIN ; ces gâteaux sont enrichis (200 tonnes) en calories et apport spécial de vitamines et sels minéraux pour une nourriture de première urgence ; personnel volontaire.
Reportage alternant images factuelles de la fabrication des biscuits sur commentaire et un entretien avec Michel Labaudy, gérant de la biscuiterie. Le journaliste relate l'histoire de la biscuiterie avant d'interroger le gérant sur les clefs de la réussite de son entreprise.
Interview alterne sur commentaire et images factuelles. Après 10 ans d'existence industrielle, le directeur général de la biscuiterie de l'Abbaye dresse un bilan extrêmement positif notamment du fait de la réussite de l'exportation, jusqu'au Japon. Le journaliste lui demande ses projection pour les 10 années à venir, en 1984, ce qui est difficile à dire puisque lui et son beau-frère ne s'attendaient déjà pas à cette réussite.
Reportage alternant sur images factuelles de la chaine de conditionnement des biscuit et commentaire en voix off du journaliste avec un entretien avec le responsable des exportations de la biscuiterie de l'Abbaye, Claude ASSELOT. Il évoque les nouveaux pays importateurs de biscuits et les enjeux de la foire de Tokyo pour son entreprise.
Interviewés, Gérard Depardieu et Anouk Aimée parlent de la pièce de théâtre "Love letters", dans laquelle ils jouent tous les deux. L'actrice a déjà interprété cette pièce plusieurs fois avec des partenaires différents. Elle explique ici en quoi sa nouvelle interprétation est une redécouverte de la pièce.
Interviewée, l'actrice Anouk Aimée évoque l'origine de son prénom et de son nom : "...c'est dans le film de Calef, le personnage s'appelait Anouk (...) personne ne se souvenait de mon nom, alors on m'a dit, il faut t'appeler Anouk...". Elle ajoute devoir à Marcel Carné et Jacques Prévert son patronyme "Aimée".
Interviewée, l'actrice Anouk Aimée revient sur son éloignement des plateaux de cinéma et son retour, six ans plus tard : "J'étais un peu gênée d'être actrice, je ne comprenais pas (...) j'étais actrice mais c'est pas pour ça que j'étais heureuse de l'être".
Interviewée, l'actrice Anouk Aimée évoque le film "Prêt à porter" dont le thème est la mode et parle ensuite des photographies qu'elle a faites comme mannequin avec le photographe William Klein : "...ça m'a beaucoup amusée et je me suis amusée à être mannequin mais tout en étant actrice...".
Interviewée, l'actrice Anouk Aimée revient sur sa rencontre avec Federico Fellini pour un rôle dans la "La Dolce vita". Elle explique avoir été subjuguée parle le réalisateur : "...il m'a dit, vous voudriez faire le rôle, j'ai dit oui, je savais qu'il avait 3000 personnes sur le même rôle, mais j'ai dit oui...j'étais absolument séduite...".
Interviewé pendant la campagne électorale des élections régionales, Philippe Séguin, président du RPR, dit son refus d'une alliance avec le Front National. Il explique : "...les accords, ce sont les mouvements politiques qui les passent et puis moi, en tant que responsable d'un de ces mouvements politiques je vous dis, il n'y aura pas d'accord avec le Front National. Parce qu'un accord avec les Front National, c'est une triple impasse, une impasse politique, une impasse morale et même une impasse électorale...".
Interviewé à propos de rapprochements éventuels, de certaines personnalités de LR, comme Thierry Mariani avec le Rassemblement National, Eric Ciotti explique : "Lorsque la ligne rouge est franchie, il y a l'exigence bien sûr de dire à tous ceux qui sont tentés par un rapprochement avec le "Front National", qu'ils n'ont pas, n'auront plus leur place dans notre famille politique...". "...les choses sont claires, jamais d'alliances avec le Rassemblement National...".
Gille de Robien est maire d'Amiens, député UDF de la Somme et membre du partie Démocratie Libérale. Interviewé, il témoigne ici de son mécontentement à la suite de l'adhésion de Jacques Blanc, à Démocratie Libérale, élu à l'Assemblée nationale avec les voix du Front Nationale. En désaccord avec Alain Madelin, président de DL, il déchire en direct sa carte du parti.
Dans le cadre de la commémoration des 30 ans du procès Barbie, une rencontre était organisée cet après-midi dans la salle de la Ficelle à Lyon, entre des élèves du lycée Saint-Exupéry et les époux Klarsfeld, à l'origine de la traque de l'ancien nazi dans les années 70. 450 élèves ont assisté à la conférence des Klarsfeld, qui, lors des échanges, n'ont pas manqué de faire des liens entre l'Histoire et l'actualité avec la montée des populismes.
Dans l'hebdomadaire d'extrême-droite "Rivarol", Jean-Marie Le Pen a déclaré que "la période de la Seconde guerre mondiale n'était pas si inhumaine que cela". Réaction de Serge KLARSFELD, président de l'association des Fils et Filles de déportés à cette provocation, lors d'une visite au camp de concentration d'Auschwitz : "(...) la réponse est simple, plus de 11000 enfants déportés vers des abattoirs tels que Auschwitz. 11000 enfants juifs déportés de France, c'est quand même un bilan qui montre que c'était un régime inhumain. Inhumain peut-être pas pour tout le monde, mais en tout cas pour diverses catégories de la population française. Mais je considére que chaque fois qu'il est en perte de vitesse, il revient à cette période de l'Occupation pour créer un scandale et pour rassembler autour de lui, ce noyau de l'extrême-droite, dont il a absolument besoin."
A l'occasion des prochaines élections législatives, le point sur le coût de la campagne électorale. Commentaire sur des images de vote, de bulletin de vote, urne, électeur déposant son bulletin puis entrant dans isoloir.