Claude ALLÈGRE, le nouveau ministre PS de l'Education nationale, met en cause le temps consacré à la formation professionnelle pendant les heures de cours, l'absentéisme des enseignants, et les 4 mois de vacances... Commentaire sur images d'archives des différentes réactions et déclarations du ministre.
Extrait de la conférence de presse de Claude ALLEGRE, ministre de l'Education nationale, sur son plan de lutte contre la violence à l'école : "Les moyens sont une condition nécessaire mais pas suffisante."
Portrait de Claude ALLEGRE, ministre de l'Education nationale depuis quelques mois, qui a choisi le jour de la rentrée scolaire pour dénoncer vivement l'absentéisme des enseignants. Interview de Ségolène Royale (ministre délégué à l'Enseignement scolaire) et de l'intéressé : "Il y a beaucoup trop d'absentéisme dans l'Education nationale, 12 %, c'est beaucoup trop, il faut mettre fin à ça..." (N.B. : le ministre reconnaîtra plus tard que ce chiffre de 12 % est surévalué et faux).
Duplex de San Francisco avec Claude ALLÈGRE, ancien ministre PS de l'Education nationale, qui fustige l'appel à la grève des examens chez les enseignants : "La grève des examens est inadmissible... Je suis professeur depuis 40 ans et je n'ai jamais envisagé ça... Même en Mai 68, on a fait passer les examens... Je considère que cette grève est indigne des enseignants..."
Séquence houleuse sur le plateau de Julien BESANCON entre Claude ALLÈGRE (géochimiste) et Haroun TAZIEFF (volcanologue) au sujet d'une éventuelle éruption grave du volcan de la Soufrière en Guadeloupe, le premier se montrant alarmant, le second n'y croyant pas. Claude ALLÈGRE, très véhément, accusant Haroun TAZIEFF d'avoir fait des "erreurs" et "cafouillé", et rejettant ses prédictions soi-disant trop optimistes : "Nous sommes montés sur le volcan, et avec vos prédictions optimistes, on a failli y laisser notre peau." N.B. : Les faits donneront raison à Haroun Tazieff, la Soufrière ne se manifestant au final que très peu, mais, par précaution, 73 000 personnes avaient néanmoins été évacuées...
Claude ALLEGRE, chef du service de géochimie à l'Institut de physique du globe et professeur à la faculté des Sciences, entouré d'enfants, sur le plateau de Bertrand JEROME, leur explique avec pédagogie à quand remonte la formation du système solaire : 7 milliards d'années. Il s'agit du premier passage à la télévision de Claude ALLEGRE.
David PUJADAS anime un débat en direct sur le nucléaire entre Claude ALLEGRE, ancien ministre de l'Education nationale et de la Recherche, et Daniel COHN-BENDIT, député européen d'Europe-Ecologie-Les Verts, en duplex de Francfort, en Allemagne. Le premier considérant que la question des risques ne se pose pas en France du fait des conditions sismologiques totalement différentes entre la France et le Japon, le second lui rétorquant que les dangers pouvant toucher une centrale nucléaire ne se limitent pas au simple risque sismique, mais il y a aussi le terrorisme, les tempêtes, un cumul de risque...
Sur le plateau de David PUJADAS, Claude ALLEGRE, ancien ministre PS de l'Education nationale, est interviewé à propos de son livre "La défaite en chantant", dans lequel il juge sévèrement Ségolène ROYAL, son ancienne ministre déléguée à l'Enseignement scolaire quand il était Ministre, et ancienne candidate socialiste, battue, à la dernière élection présidentielle : "Elle n'aime qu'elle-même, orgueil démesuré, elle ne prépare rien..." Et ajoute qu'il ne l'estime pas politiquement, même s'il lui reconnaît quelques qualités de chef, qu'il ne reconnaît pas en revanche à son ex-mari, François HOLLANDE...
Claude ALLEGRE, géochimiste, réagit au prix Crafoord (sorte de prix Nobel NDD) qui vient de lui être décerné par l'Académie royale des Sciences de Suède : "C'est une reconnaissance pour la géologie française."
Le chanteur Rachid Taha, évoque ses trois personnages référents : Crémieux, représentant à ses yeux l'injustice, Averroès et Avicenne qu'il range du côté de la justice. Il explique ensuite que l'envie de justice l'a poussé à faire de la musique.
Le chanteur Rachid Taha donne sa vision des rapports entre artistes et politique. Il évoque ensuite l'association SOS Racisme, qui avait refusé la présence du groupe Carte de séjour, lors d'un concert qu'elle organisait.
Interview de Rachid TAHA, membre du groupe "Carte de séjour". Il parle de "Douce France", reprise d'une chanson de Charles Trénet écrite pendant la guerre. C'est cette chanson qui leur a permis d'éclater.
Le 26 décembre 1967, à l'occasion des JO d'hiver de Grenoble, Pierre Contoz a 21 ans, est l'un des sportifs élus pour participer au relais de la flamme olympique. Il portera la torche dans les rues de Besançon. Devenu depuis maire de Montfaucon, Pierre Contoz évoque cet épisode marquant dans la vie d'un athlète.
Explications en infographie sur les règles de constitution du corps électoral calédonien. Présence de divergences d'interprétation des accords de Nouméa entre le RPC et le FLNKS.
Une délégation de magistrats est de retour sur le territoire pour la révision des listes électorales. Explications de Marie Louis Desgrange, responsable de la mission des présidents de commissions consultatives spéciales sur les vérifications à effectuer avant inscription sur les listes électorales et le nombre de recours.
Les Calédoniens sont appelés à se prononcer, par référendum, pour ou contre l'indépendance du territoire. Reportage à Lifou, sur les îles Loyauté, et à Koné, dans la province Nord : le commentaire sur des images de la baie de Châteaubriand, à Lifou, des bureaux de vote et des électeurs alterne avec l'interview d'un électeur.
Le texte du gel du corps électoral approuvé à une très large majorité par les parlementaires. Un vote qui satisfait les indépendantistes dont certains avaient fait le déplacement à Versailles. Réaction de Pascal Naouna, président de l'Union calédonienne, de Victor Tutugoro, porte parole du bureau politique du FLNKS et de Rock Alphone Wamytan, signataire de l'accord de Nouméa.
Reportage sur la visite du ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin en Nouvelle Calédonie. Il souhaite réunir indépendantistes et non indépendantistes à Paris en avril. Il a prôné le dégel du corps électoral en vue des élections provinciales, ce qui a braqué les indépendantistes. Commentaire sur des images de la visite du ministre, en alternance avec l'interview de Pascal SAWA, premier secrétaire général adjoint de l'Union calédonienne en charge de l'animation du FLNKS.