Interviewé, Laurent de Brunhoff, auteur et dessinateur des albums de Babar, parle des différentes interprétations faites du personnage de Babar : "Même les enfants ont une lecture qui n'est pas forcément la mienne, ils inventent leur histoire quand ils voient les images..."
Interviewé, Laurent de Brunhoff, auteur et dessinateur de Babar, est invité à parler de son dernier livre, "A tue-tête", livre d'un tout autre genre que les albums de Babar. Il explique ce changement de genre littéraire, du monde pour enfant qu'est Babar, à celui pour adulte : "D'abord je n'ai pas abandonné Babar, c'est quelque chose de parallèle (...) j'ai toujours aimé faire des croquis d'attitudes prises sur le vif...".
Interviewé, Laurent de Brunhoff, auteur et dessinateur des albums de Babar, revient sur l'empreinte de la société française des années 30, contenue dans les premiers albums de Babar.
En parallèle des albums de Babar, Laurent de Brunhoff créé des albums de dessins dans lesquels ses personnages sont des humains à tête d'animaux. Interviewé, il s'explique sur sa pratique.
L'essayiste, romancière et productrice de radio, Laure Adler est invitée sur l'antennes de France Inter pour parler de son nouveau livre "La Voyageuse de nuit". Interviewée, elle parle de la vieillesse et de la grande considération qu'on lui porte dans certains pays autres qu'occidentaux : "Oui, dans d'autres civilisations que la notre, la vieillesse est un supplément, la vieillesse est une possibilité de transmission de connaissances, la vieillesse est une possibilité de s'occuper des autres...".
Interviewée, l'écrivaine Benoîte Groult exprime son point de vue sur place des personnes âgées dans la sociéte, le thermes dépressiatifs employés pour décrire les femmes âgées.
Interviewée, la comédienne Marthe Villalonga livre son point de vue sur la vieillesse : "Vieux ça ne veut rien dire...c'est dans la tête, moi à 75 ans je ne me sens pas vieille...", puis elle ajoute "C'est beau vieux, on a des rides, on a l'expérience...".
Gilles FLORENT, un sapeur-pompier professionnel drômois, estimant avoir été mis au placard à cause de sa barbe et de ses cheveux longs, a porté son affaire en justice. Le tribunal administratif de Grenoble lui a donné raison. Après quatre ans de procédure, GiIles FLORENT a été réintégré au grade de lieutenant. Interview de Pascal PERTUSA, Président du SDIS de la Drôme.
Samuel, commis de cuisine dans un restaurant de Tours, a été licencié pour faute grave à cause de sa "coiffure incorrecte". Pour l'administrateur du restaurant, la coupe de cheveux n'est pas la seule raison. Il affirme que le jeune homme ne respectait pas les normes d'hygiène en vigueur, négligeant par exemple de porter sa toque, et qu'il avait surtout un problème de comportement. De son côté, Samuel a entamé une action en justice pour licenciement abusif.
Aboubakar TRAORE, peau noire et cheveux crépus, est steward depuis 1998 à Air France. Sa direction lui reproche sa coiffure, des tresses, non conforme au règlement. Il a mis une perruque pendant 4 ans. Pour Aboubakar Traoré c'est de la discrimination. Dans un premier temps, la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l'Egalité (HALDE) recommande à la compagnie aérienne de se rapprocher de son plaignant et de trouver une solution conforme au principe de non-discrimination. Ensuite, le Défenseur des Droits, qui vient de remplacer la HALDE, demande à Traoré Aboubakar de se conformer aux exigences d'Air France qui vient d'éditer un nouveau manuel de règles de port d'uniforme.
Interview d'une jeune couturière qui n'est pas inquiète de l'émergence du prêt-à-porter : "c'est une facilité pour la femme pressée mais ce n'est pas du tout la même clientèle...la femme qui a l'habitude d'avoir une couturière ne veut pas s'habiller dans le prêt-à-porter"
Interview d'une femme qui explique son choix de s'habiller chez une couturière au lieu d'acheter en magasin. Elle évoque les avantages que cela représente notamment en termes de choix de tissus et de modèles en exclusivité : "ma robe aura un chic qu'elle n'aurait pas en magasin".
Reportage consacré à l'ouverture du Salon international du prêt-à-porter à Paris. L'année dernière, le salon avait accueilli 50000 visiteurs et on en attend davantage cette année. En parallèle, le chiffre des exportations françaises est aussi en nette augmentation...
Reportage consacré aux ateliers de couture du quartier du Sentier, à Paris. Un groupe de fabricants du quartier a décidé de faire descendre dans la rue les mannequins qui, loin des salons traditionnels, présentent la mode dans son cadre naturel. Chacun peut s'arrêter pour demander où et à quel prix se trouve la robe de son choix.
Selon un récent rapport les femmes ne sont pas convaincues des qualités du prêt-à-porter. Albert LEMPEREUR, président de la Fédération de l'industrie des vêtements féminins, répond à ces reproches et énumère les avantages du prêt à porter : le choix des tissus, la diversité des modèles qui peuvent être combinés...
Pierre CARDIN a une vision très commerciale de son nom et le revendique. C'est pour cela qu'il est passé de la haute-couture au prêt-à-porter. Il explique que la loi de la mode qui impose des tendances et des styles, permet de faire travailler les usines et le commerce. Pour en revenir à son nom, il rêverait de le mettre sur des boîtes de sardines comme il l'a fait pour des chocolats.
Micro-trottoir dans les rues de Paris. Interrogées, des femmes expriment ce qu'elles recherchent dans la mode : "Il y a trop de choix", "Je cherche une jolie forme", "Une bricole pas chère", "Fluide, qui ne colle pas au corps" "Je continue à avoir une couturière".
A l'occasion de l'ouverture de son magasin de prêt-à-porter à Londres, le couturier Yves SAINT LAURENT s'exprime au sujet du prêt-à-porter "c'est la formule de l'avenir, c'est une chose beaucoup plus jeune, plus rapide, plus dynamique".
Reportage sur l'initiative de Chambéry Métropole pour lutter contre le gaspillage : l'installation de bornes de collectes de textiles, géré par Emmaus. Chambéry Métropole souhaite ainsi réduire de 7% ses déchets ménagés d'ici à fin 2015. Actuellement 615 tonnes de textiles sont collectés chaque année. Avec ces nouvelles bornes, la communauté d'agglomération Chambéry Métropole espère détourner des ordures ménagères 5 kg de textiles par an et par habitant, soit près de 640 tonnes supplémentaires. La collecte et le traitement des textiles ont été confiés à Emmaüs Vêtements. Reconnue dans le domaine de la valorisation et la récupération, la Confrérie d'Emmaüs est aussi une entreprise d'insertion et le développement de ce nouveau marché rime avec création d'emploi. Commentaire sur des images factuelles en alternance avec les interviews de Daniel Rochaix Vice-président gestion déchets Chambéry Métropole, de Luc Berthoud Maire de la Motte Servolex (UMP) et de Lydie Pessin Directrice Emmaüs Vêtements.