A la question de Bernard PIVOT sur la possible réincarnation du Dalaï Lama dans une petite fille, le 14ème DALAÏ LAMA explique que c'est possible, et que cela s'est déjà produit pour d'autres lamas.
Interrogé sur la possibilité de retourner au Tibet, le DALAÏ LAMA exprime ses réserves quant aux réelles intentions des autorités chinoises à l'égard de l'occupation de son pays, et des exilés tibétains.
Georges de CAUNES décrit les nombreuses difficultés liées à la présentation du journal télévisé : être scruté par les télespectateurs, garder son naturel, annoncer des nouvelles certaines fois peu réjouissantes.
Georges de CAUNES prépare le journal télévisé, et notamment un sujet sur le tour de France, en effectuant une revue de presse. Il est tout d'abord surpris en train de regarder un magazine avec une jeune femme en couverture.
Georges de CAUNES introduit l'entretien qu'il menera avec François MITTERRAND, alors candidat à l'élection présidentielle de 1965. Il rappelle que les questions qu'il lui posera sont le reflet d'une enquête menée par différents journaux auprès des Français.
Claude LEVI STRAUSS, interrogé par Bernard PIVOT donne sa définition de l'ethnologie. C'est pour lui élargir la connaissance de l'homme en l'étendant aux sociétés les plus lointaines
L'ex-mari de Jean Seberb, François MOREUIL, décrypte la trajectoire de l'actrice. Selon lui, elle n'a pas percé aux Etats-Unis car elle avait un physique "trop étrange".
Jean SEBERG, alors en plein tournage du fim "A la française", revient sur son expérience traumatisante des films tournés sous la direction d'Otto Preminger, décrivant le réalisateur comme un homme intimidant et écrasant.
A Carpentras après la profanation du cimetière juif, de nombreuses personnalités et des milliers d'anonymes ont assisté à la cérémonie de prières organisée au cimetière juif.
Frédéric ROSSIF parle de sa conception des films sur les animaux qui ne sont pas des films à vocation zoologique : "j'ai une trace en moi de cette animalité qui nous rend fou, qui nous rend sage, qui fait le rythme".
REGINE avoue aimer les vêtements. Elle parle de sa gêne d'enfant d'avoir été habillée avec ceux des autres et en répercussion ne fait que des dons de vêtements neufs.
A l'ocassion de 44ème anniversaire de la rafle du Vel d'hiv, témoignage d'Annette LERIS, assistante sociale, qui assistait les femmes et les enfants. Ceux-ci ne réalisaient pas la gravité de la situation, car c'était la police française qui les emmenait. Son témoignage est illustré de photos