Simone VEIL réfute la comparaison entre le génocide dans les camps durant la seconde guerre mondiale et les camps de prisonniers qui existent aujourd'hui dans d'autres pays totalitaires.
Claude BERRI parle de ses premiers rôles au cinéma "Le bon dieu sans confession" et "Le blé en herbe", tous deux de Claude Autant-Lara. Il partage les souvenirs heureux de ces premiers tournages.
Jean SEBERG rappelle qu'elle a grandi dans un environnement austère et qu'elle s'est construite en opposition à cette éducation. Pour elle, il est vain de parler de rôle des femmes ou des hommes dans la société.
Rencontre avec Françoise SAGAN chez elle, qui fête ses 50 ans. Elle revient sur ses débuts lorsqu'elle avait 20 ans, et évoque ce qui est important pour elle aujourd'hui. Elle joue un air de musique au synthétiseur.
Dans son bureau du château d'Echandens en Suisse, Georges SIMENON répond à Roger STEPHANE sur la génèse des "MAIGRET".
Georges SIMENON explique comment il a choisi de passer au roman policier en tant que "roman semi-littéraire" et pour la facilité d'écriture. Il avait besoin, dit-il, "d'un meneur de jeu" et c'est pour ça qu'il a créé MAIGRET.
Georges SIMENON explique la différence entre la construction narrative des Maigret, dont l'écriture est dictée par les règles du roman policier, et l'écriture de ses romans qu'il décrit comme "durs" qui lui permettent de se libérer de toute contrainte.
Bernard PIVOT interroge Georges SIMENON sur les raisons de la plublication de "Mémoires intimes", qu'il juge très sombres. L'écrivain explique que le suicide de sa fille Marie-Jo l'a profondément marqué, lui qui avait consacré toute son attention à l'éducation de ses enfants.
Georges SIMENON explique écrire désormais les Maigret pour se détendre "c'est un petit peu comme si je faisais des gammes sur le piano". Selon lui, le genre du roman policier est davantage une appelation commerciale "une marchandise". Raison pour laquelle il s'est lassé d'en écrire.
Extrait d'une déclaration de Pierre MAUROY prononcée dans le cadre du 57e congrès ordinaire du Parti socialiste, tenu dans la ville d'Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) du 11 au 13 juillet 1969. Ce congrès marque la transformation de la SFIO (Section française de l'Internationale ouvrière, fondée en 1905) en Parti socialiste.
Reportage à Paris consacré aux avantages et inconvénients des réseaux sociaux sur internet tel "Facebook". Commentaire sur images factuelles et images d'illustration d'une action collective de "freeze", lancée par l'intermédiaire de Facebook et de Maxime LEDUC, organisateur du "freeze".
A Paris au mois d'août, il y a le tourisme et le folklore, mais pas que... : accordéoniste à la terrasse d'un café, touristes, campeurs, mais aussi enfants immigrés dans une cité déshéritée du 19ème arrondissement.
Le point sur l'utilisation d'Internet en France.
Micro-trottoir et interviews d'un internaute et d'un responsable de cybercafé.
Commentaire sur des images d'un cyber-café et de pages internet (France2.fr).
Le procès de l'Erika vient de débuter à Paris. Le groupe Total est le principal acteur de la catastrophe écologique mis en cause dans ce dossier. Plus de soixante dix parties civiles de communes et d'associations sont représentés, avec pour objectif d'obtenir des dédommagements à la hauteur du préjudice financier et moral. Commentaire sur des images d'archives, alternant avec la déclaration de Philippe DE VILLIERS, et les interviews des avocats de la partie civile et de Total.
Philippe DE, VILLIERS souhaite que ce jugement fasse jurisprudence. Me Jean-Pierre MIGNARD, avocat de la région Poitou-Charentes, partie civile insiste sur le nombre important de français représenté à travers la partie civile. Me Bernard CHABERT, avocat du Trésor Public, évoque le fait que l'Etat est partie civile dans ce procès.
Me Daniel SOULEZ-LARIVIERE, avocat de Total, garde la même ligne de défense sur la non responsabilité de Total dans le sinistre.
De tout petits enfants d'une école maternelle à Boulogne nous disent comment ils imaginent le père Noël : ce qu'il mange, comment il se déplace et où il trouve les cadeaux.
Reportage à Roquemaure (Gard) où l'on conserve les reliques de Saint Valentin, patron des amoureux, célébré chaque année par une grande fête folklorique. Commentaire sur images de la fête, micro-trottoir et interview de l'abbé DURIEU qui évoque la genèse de ces reliques.
Micro-trottoir à la sortie de l'usine Renault qui ferme partiellement pour 4 semaines de vacances.
Le journaliste Georges JOUIN recueille les projets, impressions et destinations d'employés.