Jacob TSUR (ancien ambassadeur d'Israël en France) évoque la personnalité de Golda MEIR : "C'est une femme qui sait exactement ce qu'elle veut et qui est très disciplinée."
Résumé du match de football opposant la Radio télévision au cinéma et qui se déroulait au stade de Corbeil Essonne. Parmi les joueurs on remarque Georges de CAUNES, Félix MARTEN et Sacha DISTEL.. Gil DELAMARE est dans les buts. Le coup d'envoi est donné par Perrette PRADIER
Evelyne LECLERCQ, qui présente l'émission de lancement de la chaîne TF1, bute sur un nom. Elle est immédiatement rejointe par Georges de CAUNES, qui tente maladroitement de l'embrasser. Il rappelle qu'elle est d'une grande beauté et qu'elle a également été bachelière à l'âge de 16 ans, achevant de la mettre mal à l'aise.
Claude BERRI parle de l'écriture de son livre autobiographique, qui a été pour lui comme une thérapie. Il y aborde sa carrière, ses dépressions et les drames qui ont marqué sa vie.
Annonce par Louise WEISS des résultats de vote pour la présidence du Parlement européen. La victoire, remportée par Simone VEIL, est saluée par les applaudissements des députés.
Simone VEIL réfute la comparaison entre le génocide dans les camps durant la seconde guerre mondiale et les camps de prisonniers qui existent aujourd'hui dans d'autres pays totalitaires.
Claude BERRI parle de ses premiers rôles au cinéma "Le bon dieu sans confession" et "Le blé en herbe", tous deux de Claude Autant-Lara. Il partage les souvenirs heureux de ces premiers tournages.
Jean SEBERG rappelle qu'elle a grandi dans un environnement austère et qu'elle s'est construite en opposition à cette éducation. Pour elle, il est vain de parler de rôle des femmes ou des hommes dans la société.
Rencontre avec Françoise SAGAN chez elle, qui fête ses 50 ans. Elle revient sur ses débuts lorsqu'elle avait 20 ans, et évoque ce qui est important pour elle aujourd'hui. Elle joue un air de musique au synthétiseur.
Dans son bureau du château d'Echandens en Suisse, Georges SIMENON répond à Roger STEPHANE sur la génèse des "MAIGRET".
Georges SIMENON explique comment il a choisi de passer au roman policier en tant que "roman semi-littéraire" et pour la facilité d'écriture. Il avait besoin, dit-il, "d'un meneur de jeu" et c'est pour ça qu'il a créé MAIGRET.
Georges SIMENON explique la différence entre la construction narrative des Maigret, dont l'écriture est dictée par les règles du roman policier, et l'écriture de ses romans qu'il décrit comme "durs" qui lui permettent de se libérer de toute contrainte.
Bernard PIVOT interroge Georges SIMENON sur les raisons de la plublication de "Mémoires intimes", qu'il juge très sombres. L'écrivain explique que le suicide de sa fille Marie-Jo l'a profondément marqué, lui qui avait consacré toute son attention à l'éducation de ses enfants.
Georges SIMENON explique écrire désormais les Maigret pour se détendre "c'est un petit peu comme si je faisais des gammes sur le piano". Selon lui, le genre du roman policier est davantage une appelation commerciale "une marchandise". Raison pour laquelle il s'est lassé d'en écrire.
Extrait d'une déclaration de Pierre MAUROY prononcée dans le cadre du 57e congrès ordinaire du Parti socialiste, tenu dans la ville d'Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) du 11 au 13 juillet 1969. Ce congrès marque la transformation de la SFIO (Section française de l'Internationale ouvrière, fondée en 1905) en Parti socialiste.
Reportage à Paris consacré aux avantages et inconvénients des réseaux sociaux sur internet tel "Facebook". Commentaire sur images factuelles et images d'illustration d'une action collective de "freeze", lancée par l'intermédiaire de Facebook et de Maxime LEDUC, organisateur du "freeze".
A Paris au mois d'août, il y a le tourisme et le folklore, mais pas que... : accordéoniste à la terrasse d'un café, touristes, campeurs, mais aussi enfants immigrés dans une cité déshéritée du 19ème arrondissement.