L'eau du barrage monte inexorablement et engloutiera le village de Tignes. Les maisons sont systématiquement détruites et les habitants obligés de partir.
L'engloutissement du village de Tignes par les eaux du barrage est imminent. Les CRS sont venus encadrer l'évacuation des lieux par les habitants. Les démolisseurs ont commencé leur travail tandis que des fossoyeurs transféraient les corps du cimetière vers celui du nouveau village.
Le village de Tignes va prochainement être englouti par la création d'un barrage. Les habitants résignés devront quitter leur village malgré une forte opposition et la démission du conseil municipal. Néanmoins les habitants préparent leur départ.
Le barrage de Tignes, construit en 1952, a englouti sous son lac le village de Tignes. Lors de la vidange, des cérémonies ont lieu et l'émotion est palpable. Les blessures sont toujours vives et les anciens bouleversés.
En 1945, le village de Nauzenac est noyé par la retenue d'eau du barrage de l'Aigle. Alors que se déroule la vidange et que le village en ruine réapparaît, un habitant se souvient avec nostalgie des lieux.
Mars 1969, le village de Celles disparaît, immergé par les eaux du lac de retenue du barrage de Salagou. Monsieur GOUDAL, ancien maire du village, revient sur ce drame.
Super Tignes est l'exemple d'une résurrection économique à la suite de l'engloustissement du village en 1952. Images d'archives et journaux de l'époque évoquent la mise en eau du barrage et restituent le récit du destin du village de Tignes. L'église aujourd'hui s'élève fièrement au-dessus du barrage semblable à la précédente. Témoignage de l'abbé PELISSIER, curé de la paroisse, qui dresse un bilan 14 ans après de la situation et met en avant le courage des jeunes qui ont investi dans le nouveau village.
Témoignages d'habitants des Salles-sur-Verdon au moment où ils doivent être expropriés. En colère, c'est le moins que l'on puisse dire, ils se sentent lésés devant le manque d'indemnisation de leur biens. Ils se sentent dépouillés. Un agriculteur dresse le bilan de sa situation. Agé de 57 ans, il ne va pas refaire sa vie. Il cultivait des chênes truffiers et il faut "20 ans pour les avoir". Le nouveau village ? Ca ne l'intéresse pas beaucoup. C'est fait pour les Parisiens et les Marseillais.Tous réclament une juste indemnisation.
Le maire des Salles-sur-Verdon, Jean GOMBERT, évoque la disparition de son village habité par 166 habitants. C'est pour lui un drame humain considérable. Le nouveau village après la mise en eau du barrage doit être reconstruit sur les hauteurs à 500 mètres de l'ancien village.
Le village des Salles-sur-Verdon doit être englouti. Les vieux habitants et les agriculteurs seront les premiers à souffrir et devront s'adapter à la situation. Un couple d'agriculteurs estime qu'il n'y aura plus de terrain. Le tourisme ne les intéresse pas. Le village est aujourd'hui partagé en deux camps : les commerçants et les agriculteurs.
Jean-Pierre PERNAUT répond avec une pointe de timidité à des questions sur la séduction. A la question de son type de femme, il adresse un clin d'oeil à sa compagne du moment en déclarant "celle que j'aime, le sait". Plus généralement, il déclare aimer toutes les femmes, quel que soit leur physique, affirmant ne pas avoir de "type de femmes".
Interrogé par Caroline TRESCA, Jean-Pierre PERNAUT raconte ses débuts, dont le journal de la nuit, son passage à l'antenne d'Amiens, son expérience sur une émission de variétés avec Patrick Sabatier ... Il conclut "le journalisme est un métier passionnant, le journal de 13h sur TF1, le journalisme, tout va bien !". Il réagit avec le sourire à la boutade "Un Pernaut, sinon rien"