L’Aïd el-Kébir, la plus importante des fêtes musulmanes, commémore le sacrifice d’Abraham par l’abattage d’un mouton. Symbole de soumission à Dieu, ce rite célèbre aussi le partage. C’est l’occasion de retrouvailles en famille et entre amis mais aussi de distributions de viande aux plus pauvres quelle que soit leur religion.
Fête de l'Aïd el-Kébir
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Le président de la République Vincent Auriol en visite à la grande mosquée de Paris pour les fêtes de l'Aïd el Kebir, où il est accueilli par Si Kaddour Benghabrit (recteur et fondateur de la Mosquée).
En Tunisie, en 1950, on fête l'Aïd el-Kébir avec la cérémonie du sacrifice du mouton devant le palais du Bardo à Tunis et à laquelle assiste Son Altesse Bey de Tunis. Il reçoit les grandes personnalités tunisiennes ainsi que monsieur PERILLIER, Résident Général en Tunisie.
Dalil BOUBAKEUR, recteur de l'Institut de la Mosquée de Paris explique l'Aïd el Kebir lors d'un entretien avec Djelloul BEGHOURA. Il cite en arabe le verset du Coran.
L'Aïd el-Kébir, la fête la plus importante de la religion musulmane, est avant tout une fête du partage. L'association "Une Chorba pour tous" saisit l'occasion pour "donner de la viande à ceux qui n'en n'ont pas" en organisant une distribution de repas chaud auprès des sans abri de la Gare du Nord à Paris.
Une famille musulmane fête l'Aïd el-Kébir, une occasion de partager en famille et de revenir sur les fondements et les préceptes de ce moment important dans la religion musulmane. Les interviews de d'Hassan MOUSSAOUI, de son fils et de son frère alternent avec des images de prière, de rassemblement et de fête de famille.
L'Aïd el-Kébir est la plus importante fête religieuse musulmane pendant laquelle la foi d'Abraham est célébrée avec le sacrifice d'un mouton. C'est aussi l'occasion de se retrouver en famille et de partager. Une jeune femme raconte comment elle organise la fête avec sa famille. Des chants et des danses traditionnelles complètent ses propos ainsi que ceux d'un imam qui en rappelle les fondements.