Epidémies et conflits empêchent souvent les familles d’accompagner leurs proches au moment de les enterrer. Des soldats tués lors de la première et de la seconde guerre mondiale ne sont inhumés que des dizaines d’années plus tard quand leurs corps sont retrouvés. Au Zaïre, les autorités interdisent d’approcher les victimes du virus Ebola.
Enterrer ses morts en période de crise
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En mai 1917, le sergent australien John James White a été porté disparu lors de la bataille de Bulecourt, près d'Arras (Pas-de-Calais). Sa dépouille a seulement été retrouvée l'année dernière, et elle vient d'être inhumée à Quéant, en présence de la fille et du petit-fils de John James White. Commentaire sur images factuelles et interview Don TAIT, colonel de l'armée australienne, Marc BASTIEN, qui a découvert le corps, et Myrle PROPHET, fille du sergent White.
Depuis la découverte de 26 dépouilles de Poilus à Fleury devant Douaumont (Meuse) et alors que 7 corps seulement ont pu être formellement identifiés à ce jour, la gendarmerie et l'Ossuaire de Douaumont sont très sollicités par des familles à la recherche d'un ancêtre tombé durant la Grande Guerre. Commentaire sur images factuelles et interviews Olivier GERARD (directeur de l'Ossuaire de Douaumont) et Cédric BEAUNE (adjudant de gendarmerie à Verdun, officier de police judiciaire)
A Kikwit, au Zaïre, le virus Ebola continue ses ravages, et les risques très importants de contagion obligent les familles à rester éloignées du corps du défunt même au moment de l'enterrement. Explications d'une femme en deuil, Sabine, et de Chris Powell, coordinateur OMS.