Boutons, rubans, fils, tissus, les merceries regorgent de toutes ces merveilles nécessaires aux travaux d’aiguilles. Emblème du petit commerce désuet car on y achète surtout au micro détail, ces enseignes qui semblaient disparaitre de nos cités, renaissent grâce à la vague du DIY. Puisque coudre, tricoter ou crocheter est désormais très tendance, les merceries le sont aussi !
Mercerie
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Le tricot et les travaux d'aiguilles font un retour en force. Reportage chez Brin de cousette, dans le XIe arrondissement, une mercerie où l'on peut aussi apprendre à coudre. Le commentaire sur des images de la boutique alterne avec les interviews de clientes (Véronique WURBEL et Noëlle DULON) et d'Aissata GASSAMA, gérante de Brin de cousette.
En France, le tricot, la couture et la mercerie se portent bien. Cet essor s'explique par une volonté de fabriquer soi-même des vêtements à meilleur marché que dans le commerce. Le commentaire sur des images de femmes en train de coudre et de tricoter et des rayons d'une mercerie alterne avec les interviews d'une femme participant à un atelier et de monsieur ILLEL, du magasin JM.
Les merceries se font rares à notre époque. En 1961, une mercière fière de sa boutique explique pourquoi sa clientèle lui demeure fidèle malgré l'éclosion massive des magasins à prix unique.
Le tricot et les travaux d'aiguilles font un retour en force. Reportage dans la mercerie Sajou, rue du Caire, dans le IIe arrondissement : le commentaire sur des gros plans des articles (bobines de fil, ciseaux, broderies...) est suivi par l'interview de Frédérique CRESTIN-BILLET, propriétaire de la maison Sajou, et celle d'une cliente.
Reportage à Angoulême sur le bar à couture Chez mamie. On n'y trouve pas d'alcool mais du thé et café à volonté et, bien sûr, des machines pour coudre entre amies ou prendre des cours avec Mathilde, une jeune couturière diplômée. Le commentaire sur des images de l'atelier et de femmes prenant un cours alterne avec les interviews d'une cliente et de Mathilde LHUILLIER, gérante de Chez mamie.