La traque des frères KOUACHI, auteurs de l'attaque sanglante de Charlie-Hebdo avant-hier, s'est achevée dans une imprimerie à Dammartin-en-Goële, en Seine-et-Marne. Rétranchés depuis ce matin, Chérif et Saïd KOUACHI sont tombés sous les balles du GIGN. Après des images de l'assaut de l'imprimerie donné par le GIGN, insert de l'appel à témoins de la préfecture de police avec les photos de frères KOUACHI. Interview de Bernard CORNEILLE, Maire d'Othis évoquant son soulagement. Images et photos des forces de police bloquant les routes de la ville de Dammartin-en-Goël puis quadrillant le terrain. Microtrottoir d'habitants confiant leurs inquiétudes.
Témoignage de Michel CATALANO, le gérant de l'imprimerie de Dammartin dans laquelle se sont retranchés les frères KOUACHI après leur attaque contre le journal Charlie Hebdo. Il a rencontré les deux terroristes qui l'ont laissé partir. Entre temps, il a eu le temps d'avertir son salarié, Lilian LEPERE, afin que celui ci puisse se cacher. Très ému, il évoque sa relation avec les terroristes et sa crainte qu'ils puissent découvrir Lilian LEPERE caché sous un évier.
Vingt mois après la prise d'otage dans l'imprimerie CTD de Dammartin-en-Goële, où les frères KOUACHI, auteurs présumés de l'attaque contre Charlie hebdo, s'étaient retranchés, le président de la République est venu remettre la légion d'honneur aux deux hommes présents dans l'imprimerie ce jour-là et inaugurer la réouverture. Des extraits de la cérémonie, du discours du président, de l'inauguration, de l'assaut et des dégâts, alternent avec le témoignage de Michel CATALANO, gérant de l'entreprise.
Un mois après la prise d'otage dans l'imprimerie CTD de Dammartin-en-Goële, où les frères KOUACHI, auteurs présumés de l'attaque contre Charlie hebdo, s'étaient retranchés, témoignage de Michel CATALANO, gérant de l'imprimerie CTD. Il raconte les difficultés qu'il rencontre pour reprendre son affaire et les conséquences psychologiques de la prise d'otage. Des images factuelles et de l'assaut des forces spéciales à Dammartin en Goële illustrent les propos.