A l'Assemblée nationale cet après midi, le Premier ministre, Manuel VALLS a utilisé l'article 49.3 de la constitution pour faire adopter la loi travail, dite loi El KHOMRI. Cette décision est critiquée à gauche comme à droite. Pendant ce temps les manifestants contre la loi travail sont descendus pour la 12ème fois dans la rue. Commentaire sur images factuelles en alternance avec la déclaration de M. VALLS à l'Assemblée nationale, des interviews de Christian JACOB, président du groupe "Les Républicains" à l'Assemblée nationale, de Christian PAUL, député PS Frondeur, de Bruno LE ROUX, président du groupe PS à l'Assemblée nationale, de Philippe MARTINEZ, secrétaire général de la CGT et de manifestants.
Au lendemain des manifestations réclamant le retrait du projet de loi El Khormri sur la réforme du code du travail, le président de la république François HOLLANDE en visite à Moissy Cramayel, dans une entreprise, promet des améliorations au projet mais refuse de retirer le texte. Evocation des modifications qui pourraient être proposées. Commentaire sur images factuelles en alternance avec un extrait du discours de François HOLLANDE, président de la République, et les interviews de Jean-Claude MAILLY, secrétaire général FO, et de Véronique DESCACQ, secrétaire générale adjointe CFDT.
[Source : prompteur France 2] Retour en France avec l'adoption définitive, aujourd'hui, de la fameuse loi Travail.. Le gouvernement a une nouvelle fois utilisé l'Article 49-3 pour faire passer le texte porté par Myriam El Khomri, sans vote de l'Assemblée nationale.. Alors que reste-t-il au final de cette réforme du Code du Travail ?.. Ecoutez les explications de Justine WEYL
Reportage. Compte-rendu des nouvelles manifestations qui se sont déroulées à travers la France contre la loi El Khormi. Les manifestants réaffirment leur volonté de ne pas céder. Commentaire sur images factuelles et microtrottoir de manifestants.
[Source France 3 Régions] : Nouvelle journée de mobilisation contre le projet de loi travail. Salariés et étudiants étaient appelés à descendre dans la rue pour la quatrième fois en deux mois. En Charente, ils étaient quelque 1500 cet après midi dans les rues d'Angoulême. Plus tôt dans la journée, c'est sur la nationale 10 qu'ils avaient choisi d'exprimer leurs revendications.