Contre la stigmatisation et la discrimination des gros, des femmes prennent la parole. Mannequin, créatrice de mode, écrivaine, elles veulent inverser la tendance pour en finir avec la grossophobie. Plutôt que la traque obsessionnelle des kilos, elles prônent l’acceptation et font même de leur différence une force créatrice.
Acceptation des grosses et des gros
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Invitée d'Aline Pailler dans "Regards de femme", Anne Zamberlan, actrice et mannequin de forte corpulence, parle de l'acceptation de son apparence mais aussi de la discrimination dont elle a été victime plus jeune dans le monde du travail.
Dans "L'Instant M" Sonia Devillers reçoit Daria Marx, co-auteure du livre "Gros n'est pas un gros mot", où elle évoque son expérience de personne obèse dans une société grossophobe. Pour elle "être gros" ne définit pas une personne, pas plus que le terme d'"obésité", qui est fondé sur des critères médicaux.
Témoignage de Gaëlle Prudencio, 37 ans, créatrice de mode, qui parle de son obésité, des souffrances qu'elle a vécues et de l'acceptation de son corps aujourd'hui à travers la création d'une marque de vêtements pour femmes de forte corpulence.
Entre la gourmandise et la mode, Shirley LACOULOUMERE a choisi... les deux. Cette créatrice aux courbes généreuses adore la mode des années 50 car elle met les rondeurs en valeur. Shirley coud des robes sur mesure pour les femmes qui assument leurs formes. Ses clientes viennent pour le plaisir d'être belles et bien habillées.
Aux Etats Unis de nombreuses femmes comme Maryline, intègrent l'association des "Weight Watchers" afin de perdre du poids. Cette association, quotée en bourse, propose à ses adhérentes de se surveiller mutuellement au cours d'une réunion hebdomadaire pour y parvenir. La réunion débute invariablement par une pesée. Le poids est répertorié sur une fiche individuelle.