Avocat aux milles vies et ancien ministre, Georges Kiejman intervient aussi bien dans des affaires pénales qu’auprès du milieu artistique. On le retrouve ici évoquant le cinéma comme objet politique, mais aussi en tant que défenseur de la famille de Malik Oussékine, ou encore commentant sa nomination comme garde des Sceaux.
Georges Kiejman
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En 1986 Malik Oussékine, étudiant, est tué à Paris en marge d'une manifestation contre le projet de loi Devaquet. La famille de la victime se constitue alors partie civile. Interview de Maître Georges Kiejman, avocat de la famille.
En 1990, sous la deuxième présidence de François Mitterrand, Maître Georges Kiejman, avocat de profession, est nommé ministre délégué à la Justice auprès d'Henri Nallet, nouveau garde des Sceaux. Il réagit à chaud à cette nomination.
Maître Georges Kiejman, avocat et ami fidèle de Pierre Mendès France, réagit à la mort de l'homme d'Etat, qui était selon lui "un homme extrêmement tendre, extrêmement généreux, extrêmement attentif à ses amis".
En 1972, invité dans l'émission "Vive le cinéma", Maître Georges Kiejman, avocat au barreau de Paris et cinéphile averti, livre sa conception du cinéma politique, "qui n'émeut pas seulement mais qui conduit à agir".
En 1991, à l'occasion du 6ème Festival international du film et de la jeunesse qui se tient à Paris, Pierre Tchernia accueille Georges Kiejman, ministre délégué à la Communication, accompagné de sa fille. Il fait allusion à un message qu'il a délivré le matin de ce même jour lors d'une émission radiophonique, "en faveur d'une télévision qui rappelle que beaucoup de grands anciens sont encore des gens à donner des leçons aujourd'hui, n'est-ce pas Pierre Tchernia ?".