Depuis la création de l'Etat d'Israël il y a 50 ans en 1948, environ 60 000 Juifs français s'y sont installés, à raison d'environ 2 000 départs par an. A Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), rencontre avec des lycéens du groupe scolaire juif Maïmonide qui veulent partir pour Israël afin d'accomplir leur aliyah. Interviews de KEREN, de JONATHAN, qui évoquent la démarche naturelle de revenir en Israël, abordant également les problèmes avec les voisins arabes et la fracture identitaire dans société israélienne. Puis interview de Yosef HAKLAI, directeur de l'Agence juive de Paris, qui constate que les candidats au départ à la fin des années 1960 étaient plutôt de gauche, alors que maintenant ils semblent davantage de droite, religieux et nationalistes.
Les départs pour Israël se font de plus en plus nombreux dans la communauté juive marseillaise , démarche encouragée par le gouvernement israélien par l'intermédiaire de l'agence juive ; un salon d'information de l'alyah s'est tenu aujourd'hui à l'espace Damyel Rencontre avec un jeune lycéen qui envisage des études de médecine en Israël ou une carrière militaire, puis avec une éventuelle candidate au départ qui évoque une montée de l'antisémistisme en France pays qu'elle aime par ailleurs, Interview de Olivier RAFOWICZ, de l'Agance juive, qui explique qu'en 2002, 2600 personnes ont quitté la France pour Israël.
Religieux, chefs d'entreprises, laïcs, pionniers dans les nouveaux territoires, gentleman farmer, nombreux sont les juifs Alsaciens qui ont choisi de vivre en Israël. Parmi eux, le Grand rabbin WARSCHAWSKI de Strasbourg, parti s'installé en Israël en 1987, évoque le sens de l'aliya, la montée d'expatriés français dans la patrie biblique.
Les Juifs français sont parmi les plus nombreux à émigrer en Israël, dans le cadre de la loi du retour, l'alyah. Le cinquantième anniversaire de l'Etat d'Israël est l'occasion de nouveaux départs. Rencontre avec une famille, Mikaël et Sonia DAHAN et leur petite fille, dont le déménagement vers l'Etat hébreu est programmé. Interview de Yosef HAKLAI, directeur du département Alyah à l'Agence juive de Paris, qui explique les différences entre les vagues de départs dans les années 1960-1970 qui concernaient plutôt des jeunes gens de gauches et aujourd'hui plutôt des candidats avec un idéal religieux.
A l'aéroport d'Orly, cinq cent juifs français partent pour faire leur alya vers Israël afin de s'installer dans le pays, malgré la guerre actuelle au Liban avec Haïfa au nord touchée par les missiles du Hezbollah. A leur arrivée à l'aéroport de Tel Aviv, les nouveaux émigrants ont été accueillis par le Premier Ministre israélien, Ehud Olmert, preuve de toute l'attention que le gouvernement israëlien porte à l'Alyah des juifs de France. Témoignages de Betty BENHAMOU qui a conscience des tensions militaires dans le pays, de Ruth et Philippe ZERBIB, elle enseignante en mathématiques sans emploi prévu à son arrivée, de Lionel BENCHETRIT, sans travail sur place ni maitrise de la langue et qui compte s'installer dans la colonie d'Ofra en Cisjordanie. Interview de David ROCHE, directeur général de l'Agence juive, qui estime cette Alyah est la preuve que les juifs sont sûr de l'avenir d'Israël.
Reportage à Tel Aviv puis à Ofra en Cisjordanie, consacré aux motivations qui ont poussé des juifs français à émigrer en Israël.Témoignage d'un jeune couple de Français expatriés, Sarah et Arieh, installés depuis un an à Tel Aviv, qui expliquent pourquoi ils ont décidé de quitter la France. Puis rencontre avec des juifs français ayant fait leur alya en s'installant dans la colonie de Ofra pour des raisons économiques ou religieuses.
L'appel de l'an passé lancé par Ariel SHARON pour inciter les juifs français à émigrer en Israël a été entendu. Cette année, 3300 juifs français ont fait leur Alya ("Montée vers la Terre Promise"). Rencontre et témoignage d'Olivier SAHEL, professeur de français, qui part en Israël avec sa femme, assistante dentaire, et leurs deux enfants, retrouvant à l'aéroport trois cents Français de confession juive qui ont décidé de partir également. Images de l'arrivé à Tel Aviv et évocation des intérêts politiques du gouvernement israélien à faire venir de futurs citoyens juifs.
Reportage consacré à la décision d'un certain nombre de juifs d'émigrer en Israël à cause de la montée de l'antisémitisme en France et après l'appel lancé récemment par le premier ministre israélien Ariel SHARON à ce sujet. Rencontre avec une famille juive marseillaise en pleins préparatifs de départ et interviews d'autres Français de la communauté juive de Marseille, qui compte environ 60 000 juifs dans la région et qui ont fait le choix de rester.
Ces dernières années, des milliers de Français de confession juive ont décidé de faire leur alya en émigrant vers Israël. Des bâtiments récents ont été construits pour accueillir les nouveaux arrivants, dont un tiers sont installés dans la ville de Netanya, ville côtière située au nord de Tel Aviv, sorte de petit Paris avec ses nombreux magasins proposant des produits héxagonaux. Images de Netanya et témoignages d'iimmigrés français expliquant les raisons de leur départ, notamment l'insécurité, l'antisémitisme (Ilan Halimi), les attentats (Mohammed Merah, Hyper cacher).
Rencontre avec des Françaises venues s'installer en Israël. La première, Danièle arrivée depuis huit mois en Israël, explique le principe de l'alya, la loi du retour en Israël (édictée en 1948), évoquant les structures mises en place (travail, habitat) pour faciliter l'intégration des nouveaux arrivants. Une autre jeune femme, Olga, en couple, explique le fonctionnement d'un centre d'intégration (merkaz klita) destiné à accueillir des centaines de familles, notamment avec des cours d'hébreu (oulpan) pendant cinq mois.
Rencontre avec des Françaises venues s'installer en Israël. Suite et fin de l'entretien avec Danièle, psychologue arrivée depuis huit mois en Israël, qui explique la nécessité d'apprendre l'hébreu, dans le cadre de cours (oulpan) proposés par l'agence juive, afin de pouvoir d'intégrer dans la société israélienne par son travail. En dépit de ces difficultés linguistiques, Danièle se sent chez elle en Israël.
Rencontre avec des Françaises venues s'installer en Israël. Suite de l'entretien avec Danièle psychologue arrivée depuis huit mois en Israël, qui explique pourquoi elle n'a pas fait son alya, son retour en Israël, plus tôt, soulignant son désaccord, elle et son compagnon, vis-à-vis de la politique de l'Etat hébreu, mais également pour des raisons économiques et enfin l'alya entrepris par certains de leurs amis qui les a conforté dans leur décision de franchir le pas.
Olga, en couple avec David, explique son quotidien dans le centre d'intégration (merkaz klita) ou l'agence juive met à disposition pendant les six premiers mois des aides à l'intégration des nouveaux arrivants en Israël qui ont décidé de faire leur alya.