Les agents municipaux de la Ville de Paris n'ont pas le droit de recevoir d'étrenne ou de vendre de calendrier de fin d'année. Concernant les éboueurs, cet arrêté d'interdiction est peu connu des Parisiens et est souvent mal respecté.
Reportage sur les étrennes qui sont données aux commerçants, à la concierge ou aux pompiers chaque année. Commentaire sur images factuelles et d'archives, alternant par des témoignages d'Eric HENRY, boucher à Paris, d'Otilia BERNARD, gardienne à Paris, de l'adjudant chef Franck COLOMBEL, président de l'amicale des pompiers de Bruz '(Ille et Vilaine) et par un micro-trottoir.
En Martinique se perpétue encore la tradition de faire des cadeaux ou étrennes à ses proches pour le jour de l'An sous la forme de bijoux, de livres ou de téléphones. Témoignage d'acheteurs et de la responsable d'une boutiques de cadeaux.
Reportage consacré à la vente des calendriers par les facteurs à l'approche du nouvel an. Le sujet montre d'abord une factrice dans sa "tournée" dans le 11ème arrondissement de Paris. Elle est souvent bien reçue mais parfois aussi elle a été précédée par un faux facteur qui a encaissé les étrennes à sa place. Le reportage montre ensuite les illustrations des almanachs depuis les années 30 avant de décrire le processus de choix et de commandes des calendriers par les facteurs eux-mêmes auprès des 5 imprimeurs agréés par La Poste. A l'issue de la vente, les invendus ne sont pas repris. Commentaires sur des images de la factrice en tournée, de calendriers des années 30 et 50, d'écrans d'ordinateurs et de bureaux d'imprimeurs. Interview de Michel GAVEAU, des calendriers Oller.
Nouvelle année, nouveaux calendriers. Les aveugles, les facteurs, les scouts et les pompiers font actuellement le porte à porte pour proposer des calendriers contre la somme de 50 francs en moyenne. La concurrence étant rude, ils doivent faire preuve de stratégie
Reportage à Agen d'Aveyron sur la tradition familiale des étrennes en famille qui se perpétue de grand père à petites filles dans la famille BATUT. Témoignage des grands parents, petites filles et de la fille sur cette tradition et des achats effectués avec l'argent reçu.
C'est une tradition en voie de disparition : L'aguignette, petit gâteau de pâte feuilletée, ne se trouve plus que dans certaines boulangeries Rouennaises. Elle se vend uniquement début janvier. Car selon la coutume, les enfants l'échangeaient autrefois contre des étrennes.
Deux journalistes de la télévision régionale font du porte à porte pour recueillir des étrennes en échange de porte-clé, d'autocollants et d'alumettes.
Dossier sur les étrennes de fin d'année : la tradition se perpétue, parmi les professions qui en bénéficient le plus : les facteurs. La coutume s'étend également aux entreprises qui, de plus en plus, font des cadeaux à leurs clients.
Reportage sur la tradition du calendrier des Postes vendu chaque année par le facteur en échange d'étrennes. 15 millions de ces calendriers sont vendus par an. A la campagne, comme en témoigne un couple de retraités, l'almanach sert aussi bien à connaître les lunes pour les semences qu'à noter la date des anniversaires des petits enfants. Explication sur l'origine de cet almanach et sur la manière dont il est imprimé à travers l'exemple de l'imprimerie de Rennes en alternance avec le témoignage d'un couple de retraités.
Michel PERICARD part à la rencontre des concierges pour les interroger sur la tradition des étrennes et son remplacement par un salaire : sont-elles pour ou contre ? Le syndicat des concierges souhaiterait remplacer cette tradition par un salaire. Témoignages de trois concierges et du mari de l'une d'entre elles.
Alain DECAUX raconte les origines historiques de la tradition des étrennes ou des cadeaux de Nouvelle année. Son origine remonte à l'époque romaine et son nom découle de la déesse romaine Strenua, déesse de la purification et du bien être. Les cadeaux offerts aux amis à l'époque étaient du miel et des dattes pour que l'année soit douce.
Rencontre avec des concierges que ce que représentent pour eux les traditionnelles étrennes : souvent six mois de salaire non imposables. Témoignages de deux gardiennes et du superviseur d'un ensemble d'immeubles ou IGH, immeuble de grande hauteur parlant plusieurs langues et titulaire d'un brevet de secouriste.