Vingt-sept ans après l'attentat contre la synagogue de la rue Copernic, le 3 octobre 1980, qui avait fait quatre morts et une quarantaine de blessés à Paris, la justice française est sur la piste d'un suspect libano-canadien d'origine palestinienne vivant au Canada. Le nom du suspect était apparu dans l'enquête menée par le juge antiterrosite Jean-Louis Bruguière en charge du dossier à l'époque et qui préfère rester prudent sur l'avancée de l'enquête. Rencontre avec Lucien Finel, ancien président de l'Union Libérale des Israélites, étonné que le dossier n'ait pas été clos depuis le temps.
Retour sur l'attentat à la bombe rue Copernic qui a eu lieu le 3 octobre 1980 visant la synagogue de l'Union libérale israëlite de France à Paris, un soir de shabbat. Ce premier attentat contre les juifs en France depuis la Seconde guerre mondiale fait 4 morts et 46 blessés. Réaction du rabbin WILLIAMS
Presque 40 ans après l'attentat à la synagogue de la rue Copernic, les magistrats ont rendu un non-lieu en faveur de Hassan Diab, l'unique suspect. Le parquet a requis son renvoi devant les assises.
Point sur l'enquête de l'attentat de la rue Copernic. Parmis les débris, une moto a été retrouvée. Toujours non réclamée, les policiers souspçonnent son propriétaire, un homme d'origine chypriote d'être le poseur de bombe. Le journaliste Maurice Olivari nous présente les restes de la moto, ainsi que le portrait robot du suspect.
Au lendemain de l'attentat antisémite de la rue Copernic, les Français se rassemblent et manifestent leur émotion. François Mitterrand et Simone Veil assiste à l'office de la synagogue visée, tandis que les Parisiens manifestent dans les rues contre le fascisme.