En 1983 une alcoolémie supérieure à 0,8g devient délictuelle. Détail dans ce dossier sur cette mesure, présentation des premiers éthylotests, explications de Charles Fiterman, ministre des transports, et un quizz édifiant sur le code de la route.
Sécurité routière 1983
Message d'information
mediaclip est actuellement optimisée pour une résolution minimum d’écran de 1280*756.
Les versions mobile et responsive du site sont en cours d’optimisation.
Le nouvel appareil éthylotest est testé dans le département d'Ille et Vilaine. Il est destiné à remplacer l'alcootest, et permet de mesurer le taux d'alcool dans le sang des conducteurs. Le délégué à la sécurité routière sert d'automobiliste cobaye à la démonstration réalisée pour la presse. Interview du directeur de cabinet du préfet.
Interview en plateau du ministre des transports, Charles Fiterman à propos des mesures prévues pour améliorer la sécurité routière, inscrites dans le programme "Réagir", et notamment les sanctions à l'encontre des conducteurs en état d'ivresse.
Sujet consacré aux nouvelles mesures visant à réprimer la conduite en état d'ivresse : le taux d'alcool dans le sang sanctionné à partir de 0,8 g/l, le déploiement des éthylomètres et la modification du code des débits de boisson. Des images de véhicules accidentés et de secouristes illustrent le propos de la journaliste. Interview du professeur Claude Got, de l'hôpital Raymond Poincarré de Garches, qui détaille les chiffres des accidents mortels, les profils sociologiques des conducteurs impliqués et la gradation des risques de l'alcoolisation au volant.
Le nouveau projet de loi sur la sécurité routière prévoit que le dépassement de 0,8 g/litre d'alcool dans le sang soit considéré comme un délit, et non plus comme une simple contravention. Les conducteurs délinquants seront alors passibles de peines de prison. Le docteur Roger Fai explique à quelle quantité de verres correspond ce taux et quelles sont les effets de l'alcool sur la conduite.
Galaxie INA 
