Philippe REMACLE, pharmacien à Salouël dans la Somme, a fait sa thèse de pharmacie sur le préservatif. Il détaille les différentes matières utilisées dans l'histoire, constate la gêne existante de la part des demandeurs et commente les différents termes utilisés pour le caractériser. Il explique ainsi que le terme capote anglaise remonte au XIXème siècle et aurait été attribué par les Français aux Anglais. Les Anglais ayant fait la même chose, chacun se renvoyant la balle.
Premier jour de la mise en vente des préservatifs à 1 franc, campagne visant à inciter les jeunes à utiliser le préservatif et à lever l'obstacle financier. Reportage dans trois pharmacies, et interviews des pharmaciens et utilisateurs.
Enquête à Paris sur "la cote" des préservatifs. Réponses allant du oui au non par des gens de tous âges passant près du micro. Une femme un peu dégoûtée avoue "c'est comme une saucisse sous cellophane, c'est pas terrible du tout". Une heureuse explication pratique visant à dévoiler les derniers secrets de l'utilisation du préservatif par le sexologue Jacques Waynberg suit ce télétrottoir.
Au planning familial, une femme retrace l'histoire du préservatif masculin jusqu'aux usages aujourd'hui : "il y a un grand ras-le-bol de la pilule chez les femmes, et une grande mode de retour aux méthodes naturelles".
Conversation de comptoir entre 3 hommes sur la perception du préservatif masculin. Ce moyen de contraecption ajoute selon eux du stress aux relations sexuelles.