Jacques Dutronc revient sur scène après seize ans d'absence. Dans les coulisses de ses répétitions, il donne des interviews pas très sérieuses comme à son habitude.
Jacques Dutronc, dans sa maison en Corse, compare la vie à un cigare puis évoque son lien avec les journalistes. D'une manière ironique, il se décrit comme un artiste non abouti.
Jacques DUTRONC se décrit en quelques phrases : il revient sur sa timidité, son côté sauvage, aimant la solitude, sa passion pour le baby-foot et le flipper.
Jacques DUTRONC revient sur son rôle dans le film de Maurice Pialat "Van Gogh". Pour lui, le film n'a certes pas reçu de récompense à Cannes mais il a le mérite d'avoir été très bien accueilli par le public, et par différentes personnalités du cinéma comme Gérard Depardieu ou Leos Carax. Il décrit ensuite ses premiers échanges avec Pialat et conclut en disant que sa seule condition pour accepter ce rôle était de ne pas avoir à peindre.
Jacques DUTRONC répond à une interview improvisée par son parolier Jacques LANZMANN. Les questions sont pour le moins existentielles : "qu'est-ce que la vie?", "qu'il y a-t-il après la mort" "est-ce que tu chanterais dans un confessionnal" " est-ce que tu accepterais d'aller sur la Lune".
La mine réjouie, Françoise HARDY et Jacques DUTRONC sont interviewés à la maternité après la naissance de leur fils Thomas. Le bébé est dans les bras de sa mère.
Jacques DUTRONC pense qu'ils ne changeront pas leur façon de vivre : "On ne va pas tout transformer pour lui. C'est à lui à s'habituer à notre vie". Il déclare ensuite : "Cela change tout de même beaucoup de choses, je serais obligé d'aller fumer le cigare ailleurs", alors qu'il est justement en train de fumer dans la chambre.
Le couple ne souhaite pas faire participer leur fils à leur vie publique. A propos de la transmission de son "piège à fille", Jacques DUTRONC répond avec humour : "Je voulais le vendre... il (Thomas) s'en servira, il n'est pas rouillé. Je ne serai pas si vieux que ça quand il s'en servira... on pourra s'arranger".