L'actrice italienne Gina LOLLOBRIGIDA parle de sa peur à chaque nouveau rôle car le public devient plus difficle, et elle-même est plus exigeante. Elle admet qu'elle a changé depuis ses premiers rôles mais ne voit pas l'intérêt de rejouer les même types de personnages.
A l'occasion de la sortie de son album de photos "Italia mia", l'actrice italienne Gina LOLLOBRIGIDA explique ce qui la motive dans la photo : la créativité, l'expression personnelle, ce qui n'est pas possible au cinéma. Parlant des photos de l'album elle admet une certaine ironie dans les prises de vue qui montre l'histoire de l'Italie, la beauté de son pays. Elle convient que ces photos dressent aussi un portrait d'elle-même.
L'actrice italienne raconte comment la foule qui l'entoure lors de ses apparitions provoque des incidents : en France lors de l'émission "Kermesse aux étoiles", il y a eu des blessés dans une bousculade, à Zurich (Suisse) elle a mis une demi-heure pour sortir de la gare et des gens n'ont pu accéder au quai et ont raté leur train.
Gina LOLLOBRIGIDA revient sur ses débuts d'actrice et souligne qu'elle ne voulait pas faire du cinéma mais envisageait une carrière dans la peinture ou le chant. Devant l'insistance du metteur en scène qui la voulait pour un second film, elle cru le décourager en demandant un salaire élevé, peine perdue...
A l'occasion de l'inauguration du 20ème festival de Cannes, Gina LOLLOBRIGIDA est accueillie en France. Elle revient sur la polémique en Italie à propos du film "Les Poupées", sur le film "Fanfan la Tulipe" qui l'a lancée en France. Elle compare sa première venue à Cannes où elle était tranquille car inconnue, alors que plus tard, ce fut la cohue avec journalistes et photographes se bousculant. Interview de l'actrice et images de son arrivée à l'aéroport de Nice puis sur la croisette.
Pendant deux ans, l'actrice italienne Gina LOLLOBRIGIDA a sillonné l'italie pour faire le portrait de son pays à travers ses habitants. Le résultat est visible dans le livre "Italia mia". Mais sa notoriété lui a compliqué la tache : pour éviter d'être reconnue de la population et surtout des photographes, elle a dû se rendre méconnaissable. Elle détaille les éléments de sa transformation.