L'écrivain et auteur de théâtre Florian ZELLER explique l'origine de son nom et sa résonance sur son caractère : il est plutôt solitaire et avait tendance à se tenir à l'écart du monde et l'écriture est un travail de solitaire. Il essaie cependant d'apprendre apprivoiser le monde, notamment avec l'écriture de pièce de théâtre.
L'écrivain et dramaturge Florian ZELLER parle de l'écriture comme d'un acte qui confronte à ses limites, à soi-même. Il avoue avoir été plusieurs fois découragé d'écrire. Il se souvient notamment qu'il n'a pas pu écrire pendant un an et demi après la naissance de son enfant. Il fait une digression sur le nom de son fils : "Roman" à la fois écho à l'écriture et au cinéaste R Polanski. "Traverser de longues période comme ça sans écrire c'est un vertige assez impressionnant". Il explique franchir ces difficultés avec de l'espérance, de la remise en question et du désir. "L'écriture est vraiment liée au désir", notamment pour le théâtre où l'on écrit pour quelqu'un. "C'est une façon d'être tiré en dehors de soi"
L'écrivain et dramaturge Floran Zeller s'exprime sur les rapports entre son image et son métier. Il ne craint pas que son image prenne le pas sur son écriture. Il écrit sur des choses qui lui sont chères : on ne peut jamais dire comment elles seront reçues. Sur son côté dandy : c'est pour lui revendiquer une différence à tous les niveaux. Pour lui écrire un livre n'est pas un acte de séduction.
Sur le plateau du journal télévisé, le présentateur Jean-Noël MIRANDE interview le jeune auteur Florian ZELLER à l'occasion de sa première pièce de théâtre "L'autre" jouée au théâtre des Mathurins. Il parle du thème et de la structure de sa pièce et dit avoir était inspiré par l'acteur Nicolas Vaude.
Reportage sur le jeune auteur de roman et de pièces de théâtre Florian ZELLER qui publie son troisième roman : "La fascination du pire" a obtenu le prix Interallié. Il est également l'auteur de pièces de théâtre. Il se rend chez son éditeur puis au théâtre Montparnasse pour assister à une répétition de la pièce "Le manège". Interviewé, il explique la différence entre l'écriture d'un roman et celle d'une pièce de théâtre. Son éditeur Guillaume Robert (Flammarion) pense qu'il faut mesurer les choses quand on a du succès.