A l'occasion d'un concert à l'Olympia, Woody ALLEN prend la parole en français et déclare "Je ne sais pas qui est le pire, mon français ou mon clarinette". Il parle de la notoriété de l'Olympia aux Etats Unis. Il explique brièvement ce qu'est le jazz de la Nouvelle Orléans.
Interviewé par Henri SPADE et Odette LAURE, Bruno COQUATRIX raconte comment il est devenu directeur du théâtre de "La comédie Caumartin", puis de l'Olympia. Selon lui, un music-hall ayant beaucoup de places et pouvant pratiquer des prix populaires correspond à un besoin dans la ville de Paris. Ensuite, il rend hommage aux jeunes artistes qui l'ont soutenu et lui ont fait confiance dès le premier programme.
A l'occasion de la dernière répresentation de la pièce "Madame Marguerite" Annie GIRARDOT visite la salle de l'Olympia. Elle affirme avoir appris plus de la scène de l'Olympia que de ses cours au Conservatoire.
Benjamin BIOLAY, en compagnie de Brigitte ABRAHAM, directrice de salle, visite l'Olympia avant son premier concert dans ce lieu mythique, habité par le souvenir des Beatles qui y chantèrent en 1964.
En présence de Pierre PERRET, DALIDA est interviewée par Christophe IZARD à propos d'un concert à l'Olympia en 1961 et de l'hostilité de public. A la suite de sa séparation d'avec Lucien MORISSE qui avait lancé sa carrière, la presse et les gens du métier se sont retournés contre elle et son ingratitude. Elle a même reçu une couronne mortuaire portant la mention "A la chanson défunte, vive Edith Piaf". Ce qui ne l'a pas empêché de chanter et de faire un triomphe.
Jack LANG a engagé une procédure en vue du classement de salle de spectacles L'Olympia comme monument historique national. Extrait du discours et interview du ministre de la Culture sur sa volonté que cette salle mythique ne soit pas détruite par une opération immobilière.
Pierre TCHERNIA s'entretient avec Edith PIAF et avec son impresario et ami Bruno COQUATRIX, au domicile de la chanteuse, à l'occasion d'une série de concerts que cette dernière donne à l'Olympia. Edith PIAF rend un hommage appuyé au directeur de l'Olympia, affirmant qu'il est exceptionnel, gentil, encourageant. "Même malade à crever, on viendrait faire le spectacle rien que pour ne pas le décevoir". A son tour, Bruno COQUATRIX, fait l'éloge d'Edith PIAF : "C'est pas facile de ne pas être gentil avec elle. Elle sait exactement ce qu'elle veut faire. Du coup, tout est possible." Il ajoute qu'elle prend toujours la défense de ceux qui travaillent pour elle. Elle est à l'Olympia pour neuf semaines et c'est exceptionnel.
Jack LANG a engagé une procédure en vue du classement de salle de spectacles L'Olympia comme monument historique national. Extrait du discours et interview du ministre de la Culture sur sa volonté que cette salle mythique ne soit pas détruite par une opération immobilière.
Interviewé par David PUJADAS, Eltan JOHN explique en français pourquoi il aime jouer parfois dans des petites salles à l'atmosphère intimiste comme l'Olympia.
Réaction du DJ Laurent GARNIER avant son premier concert à L'Olympia : "Quand je me réveille des fois, je me dis -Merde l'Olympia !- C'est quand-même Piaf, c'est Montand, c'est vraiment des grands quoi !"
Préparatifs de première à l'Olympia pour Gilbert BECAUD. Visiblement nerveux, il fournit quelques indications à Bruno COQUATRIX puis s'isole dans sa loge où il explique : "On voudrait toujours commencer par la seconde parce que les premières ca fait mal, c'est pénible".
Répétition d'un gag, improvisé pour la télévision, où Jacques TATI tente de se glisser dans la file d'attente de son spectacle à l'Olympia, "Jour de fête à l'Olympia".