A la veille de la venue de Mikhaïl Gorbatchev à Paris, Alexandre Adler (journaliste au Matin de Paris, spécialiste de l'URSS) analyse l'importance de ce déplacement à l'Ouest du nouveau leader soviétique, illustrant selon lui le fait que l'Union soviétique considère maintenant l'Europe comme un interlocuteur crédible au même titre que les Etats-Unis.
Le politologue internationale Alexandre Adler, spécialiste de l'URSS, réagit à la proposition soviétique de retirer ses troupes postées en différents endroits du globe (pas seulement à l'Est, mais aussi à Cuba ou au Vietnam), et présente les enjeux de cette décision : "Le plus spectaculaire est peut-être à venir."
Alexandre Adler, historien spécialiste de l'URSS et membre du PCF, livre sa vision de la vie en Union soviétique (alors qu'il reconnaît lui-même n'y avoir vécu que très peu de temps NDD) et des combats qui y sont menés par des communistes, en émettant des réserves sur le livre que vient d'écrire le dissident exilé Vladimir Boukovsky, présent sur le plateau, dans lequel lui, bien sûr, dénonce l'atteinte aux droits de l'Homme dans son pays (il s'agit de la 1ère télévision d'Alexandre Adler).
Deux jours après les attentats du 11 Septembre, Patrick Poivre d'Arvor reçoit Alexandre Adler (géopolitologue, éditorialiste Le Monde) afin d'évoquer la forme et les conséquences possibles des représailles américaines en Afghanistan, pays connu pour abriter Oussama Ben Laden : "Les Etats-Unis enverront des troupes au sol en Afghanistan."
Alexandre Adler, expert en relations internationales, analyse la menace que fait peser sur le monde, pas que occidental, le terrorisme islamiste. Il considère en effet que l'Occident n'est pas le premier menacé, il l'est selon lui moins que les pays arabes, mais que "dans la mesure où cette lutte ne nous est pas indifférente, nous sommes parfois pris dans le feu."