A Lille, tournée de promotion de Mary Higgins Clark, 91 ans, en compagnie de sa fille Carol, 50 ans, elle aussi écrivain. Les deux femmes sont très complices. Lors de la conférence de presse, Mary Higgins CLARK évoque leur collaboration tandis que Carol raconte une anecdote survenue chez un libraire. Pendant la séance de dédicaces dans la librairie Le Furet, des fans expriment leur admiration tandis que Marie HIGGINS CLARK trouve "formidable de pouvoir rencontrer les lecteurs". Devant la librairie, des fans impatients attendent, depuis plusieurs heures pour certains, de pouvoir rencontrer la reine du polar.
Mary HIGGINS CLARK est à Nantes, à l'occasion de la sortie de son dernier roman "Un jour tu verras". Cette Américaine s'est mise à écrire des best sellers pour élever ses cinq enfants, après la mort de son mari. A ceux qui voient dans son oeuvre un reflet de l'Amérique d'aujourd'hui, celle des déséquilibres et de la violence, elle répond que "cette violence est identique à celle des autres pays"... "Le pays connaît un surcroit de violence, mais c'est aussi le cas en France, en Angleterre, en Allemagne". Elle revient sur la prise d'otages qui a eu lieu dans la maternelle de Neuillys-sur-Seine : "ce serait une bonne histoire pour moi".
Invitée en plateau, Mary Higgins CLARK, romancière américaine spécialisée dans le roman policier, qui connaît un grand succès outre-atlantique et en France, répond aux questions de Bruno MASURE concernant l'argent qu'elle a gagné avec ses livres et les recettes de son succès : "être une bonne conteuse", suggérer plutôt que montrer, comme le faisait Hitchcock.
Reportage sur la visite de l'écrivain Mary HIGGINS CLARK à Paris à l'occasion de la sortie de son nouveau best-seller, "Ni vu ni connu". Elle est traitée comme une reine.. Dans sa limousine, elle raconte comment écrire un bon livre : "il faut d'abord une bonne histoire et une héroine, en général jeune"... Elle visite ensuite la reconstitution du lieu du crime de son dernier roman, où elle explique comment elle réussit à sortir un livre par an. Elle estime que "ce n'est pas difficile". "Je travaille sur un ordinateur. Ca va très vite, je peux écrire jusqu'à 20 pages par jour."
A la question de Bernard PIVOT : "Vous aimez tuer dans vos livres ?", l'écrivain Mary HIGGINS CLARK répond : "Pas plus que nécessaire". Elle dit que la violence est toujours suggérée dans ses livres "car cela donne plus peur" et que ce qu'elle aime vraiment c'est "quand je me fais peur à moi-même"... Elle dit n'avoir jamais eu de pulsion criminelle, sauf pour son électricien, qu'elle fera mourir dans son prochain livre...
Rencontre avec l'écrivain Mary HIGGINS CLARK dans sa maison du New Jersey, aux Etats-Unis. Elle avoue qu'elle "aimerait écrire une oeuvre plus littéraire, juste pour voir si j'en suis capable... mais je le ferais sous un nom d'emprunt". Elle sort de son domicile pour aller à la plage de Spring Lake et montrer avec humour une "scène de crime" de l'un de ses romans.
L'écrivain Mary HIGGINS CLARK est l'invitée de Michèle BUR, à l'occasion de la sortie de son dernier roman "Un jour tu verras". Ses propos sont traduits par Jennifer VORMS LE MORVAN. Elle dit qu'elle ne pourrait pas tuer sauf si c'était pour sauver quelqu'un ou si l'on s'attaquait à ses petits enfants. Selon elle, l'être humain est le même partout sur la planète. Elle explique que pour son travail elle se documente en assistant à des procès et en lisant les papiers sur les faits divers dans la presse.