Le producteur et présentateur d'émissions de télévision, Jean-Luc Delarue, parle de sa consommation de drogue. Il évoque la quantité et la première fois où il en a pris : "C'était énorme à la fin, à la fin c'était à peu près vingt grammes par semaine, ça paraît petit des grammes mais c'est beaucoup de drogue...".
Interviewé sur la drogue, Jean-Luc Delarue, producteur et présentateur d'émissions de télévision parle de sa consommation de cocaïne. Il évoque le jour ou la police est venue l'interpeller chez lui : "Dans le bouquin que je lis, qui m'aide à me rétablir, on parle de choc salutaire, pour moi ça été un choc salutaire..."
Invited on the set of the show to talk about his book "Deux ou trois vies qui sont les miennes", actor Daniel Gélin explains the difficulties he encountered in getting out of drugs: "For months and months, your body no longer needs drugs, it is necessary, to use a word that we are always afraid to use but that exists, it is the word of the soul, therefore it is necessary after to reshape a soul.".
The actor Daniel GÉLIN is invited on the set of the show to talk about his book "Deux ou trois vies qui sont les miennes". Interviewed about the period of his life when he was using drugs, he explains: "...there is certainly a search for God through drugs, certainly, as far as I am concerned".
Après une cure de désintoxication Jean-Luc Delarue mène une campagne contre la drogue et les dangers de l'addiction. Reportage dans un collège de Tourcoing, où l'animateur est allé à la rencontre des élèves dans le cadre de son tour de France des collèges en camping-car. Lors de son intervention devant les collégiens, il explique à propos de la drogue qu'il consommait : "au bout d'un moment, le produit il est tellement fort, il est tellement pervers, il est tellement vicieux ce produit-là, qu'on ne le maîtrise plus".
The actress Béatrice DALLE says what she thinks about drugs: "There are no degres, because it is too late when we realize that it is so dangerous, it is so vicious and that it hurt us so much what, so better not, never test what"